Petula Erbowitch
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(→Entre autobiographies-fictionnelles et romans de gare) |
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=== Entre autobiographies-fictionnelles et romans de gare === | === Entre autobiographies-fictionnelles et romans de gare === | ||
| - | Les premiers romans de Petula Erbowitch, et surement les meilleurs, traitent de son enfance, de sa vie ([[Le petit Monde de mes Chaussettes]],[[Le linge blanc]], etc..) . Mais très vite, la médiatisation de sa vie privée et sa récupération par les médias lui fait lever le pied. Elle bascule dans un tout autre style : les romans de gare aux titres biscornus ([[Tire pas la patte mon canard]],[[Et j'y mettrais une ferme, une grange et une barrière,]], etc..). Nous sommes dans les années 90, alors que, pour Petula Erbowitch, commence une longue descente aux enfers. Se considérant trahie par la masse média, elle plonge dans l'alcool | + | Les premiers romans de Petula Erbowitch, et surement les meilleurs, traitent de son enfance, de sa vie ([[Le petit Monde de mes Chaussettes]],[[Le linge blanc]], etc..) . Mais très vite, la médiatisation de sa vie privée et sa récupération par les médias lui fait lever le pied. Elle bascule dans un tout autre style : les romans de gare aux titres biscornus ([[Tire pas la patte mon canard]],[[Et j'y mettrais une ferme, une grange et une barrière,]], etc..). Nous sommes dans les années 90, alors que, pour [[Petula Erbowitch]], commence une longue descente aux enfers. Se considérant trahie par la masse média, elle plonge dans l'alcool, les drogues et les paradis artificiels. |
| - | + | Son recueil poétique [[Atomisation]] reste l’œuvre la plus personnelle de cette période noire qui s'achèvera aux urgences de [[Gérardmerveille]] un sombre soir d'octobre 1998. | |
=== Le tournant : la biographie-fictive === | === Le tournant : la biographie-fictive === | ||
