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Calamity III : Un Hardgot, ça brûle ?
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{{Infobox |name = Calamity III : Un Hardgot, ça brûle ? |bodystyle = float:right; valign:top; |title = |titlestyle = |image = http://s3.noelshack.com/uploads/images/10370161320156_calamity3reduit.png |imagestyle = |caption = |captionstyle = |headerstyle = background:#ccf; |labelstyle = background:#ddf; |datastyle = text-align:right; |label1 = Genre |data1 = Historique |label2 = Date de sortie |data2 = 11 mars 2034 |header3 = Équipe technique |label3 = |data3 = |label4 = Réalisateur |data4 = [[Dan Looper]] |label5 = Compositeur |data5 = [[Robbie Jagger]] |label6 = Producteur |data6 = [[Calamity Pictures]] |header7 = Casting |label8 = Premier rôle masculin |data8 = [[Luc de Milleraie]] |label9 = Premier rôle féminin |data9 = [[Anna D. Emelie]] |label10 = Second rôle masculin |data10 = [[Barclay Harper]] |label11 = Second rôle féminin |data11 = [[Annie Kwiat]] |label12 = Guest Stars |data12 = [[Max Gibbs]]<BR>[[Freddy Castellucci]] |header13= Budget |label13 = |data13 = |label14 = Budget technique |data14 = 3'000'000 $ ('''Série A''') |label15 = Total des cachets |data15 = 1'072'999 $ |label16 = Budget publicitaire |data16 = 3'000'000 $ |label17 = Budget total |data17 = 7'072'999 $ |label18 = Recettes |data18 = 10'793'637 $ |label19 = Bénéfice |data19 = 52% |header25= Autres informations |label26 = Ville |data26 = [[Fundanse]] |label27 = Affiche |data27 = [[Calamity Graphism']] |label28 = Scénario |data28 = [[Julien Bernard]] }} Victime de la "[[Crise de Fundanse|Période Noire]]" de Fundanse, ce film ne fut pas extrêmement bien accueilli bien qu'il aie fait environ 50% de bénéfices. Le côté assez "private joke" de l'intrigue empêcha également le film d'atteindre des sommets : Calamity Pictures comprit que ce genre de films pseudo-historiques n'étaient pas rentables et fit pour longtemps une croix dessus. == Scénario == Hardgot... c'était impossible... <BR> C'est avec ces pensées que je parcourais les sombres et vides ruelles du bas-Fundanse, d'où je venais, et où j'aurais toujours dû rester. Une fillette, sale, repoussante, s'enfonça en rampant dans la ruelle voisine. J'eus envie de vomir. Comment les gens d'ici avaient-ils évolué depuis tout ce temps ? J'étais resté longtemps rédacteur du Metro News Five, j'avais été promu au poste de rédacteur en chef adjoint, j'assurais les fonctions de traducteur, de graphiste... <BR> Et puis plus rien. Je ruminais à présent les tragiques évènements qui étaient survenus, cette terrible nuit du 11 novembre 2033. <BR> Je me rappelais... <BR> <BR> Benoît-Gérard m'avait convoqué dans son bureau, dans la soirée, pour m'annoncer qu'il comptait développer les activités de la B/G et surtout du Metro News Five dans d'autres villes du continent. Il sautillait de joie, il paraissait tellement heureux... J'allai coucher de bonne heure, ce soir-là. Je voulais juste choper les informations de 21 heures avant. <BR> J'allumai le poste. <BR> Je vis l'image. <BR> J'entendis le présentateur. <BR> - "...les locaux de la B/G Productions livrés aux flammes depuis une demi-heure. Tout le personnel évacué, mais aucune trace de Benoît Hardgot..." <BR> Je m'évanouis. <BR> Lorsque je me réveillai, j'avais mal dans toute la région du corps. J'étais dans une salle d'hôpital, bardé de perfusions, allongé dans un lit blanc immaculé... ou qui semblait l'être. Les draps, humides, étaient d'une propreté douteuse. Je compris quelques secondes après que c'était par ma faute que je me baignais presque dans cette flaque. <BR> - Mon dieu... gémis-je. <BR> Le simple fait de prononcer ces mots me prit un effort colossal. Je restai haletant pendant cinq bonnes minutes. Tout à coup, une infirmière arriva en trombe dans ma chambre, un verre d'eau bourré de cachets à la main. <BR> - Vos médicaments, monsieur Bernard ! fit-elle. <BR> - Madame, je... <BR> - Allons, buvez ! <BR> Elle posa le verre sur ma table de nuit. <BR> - Est-ce que... <BR> - A tout à l'heure ! fit l'infirmière en claquant la porte de la chambre. <BR> Je haletais à nouveau, mes poumons imploraient de l'air... qu'ils peinaient à trouver. L'oxygène de la pièce semblait se raréfier, pourtant j'étais convaincu que rien ne changeait. Un problème intérieur, sans doute. Que m'était-il donc arrivé ? Qu'avais-je pu faire qui ait nécessité mon hospitalisation d'urgence ? <BR> Je remarquai deux petits interrupteurs à côté de mon lit. Sur l'un, il y avait écrit "Plafonniers", sur l'autre "Infirmières". J'appuyai longuement sur ce second bouton. Une autre infirmière entra d'un pas traînant, et se mit à dire d'un ton lent en monocorde : <BR> - De quoi... (elle bailla)... de quoi avez-vous besoin ? <BR> - De quelques réponses, haletai-je. Qu'est-ce que je fais ici, d'abord ? Et qu'est-ce qui est arrivé à mon ami Hardgot ? Où sont les toilettes les plus proches ? <BR> - Je... je vais voir si le médecin est là. <BR> Elle sortit, me laissant encore plus seul qu'avant sa venue, ses pieds traînant par terre au moins au rythme de l'avancée de l'intrigue dans un livre de Zola. Cette comparaison me fit sourire... mais sourire me fit grimacer de douleur. <BR> Quelques minutes plus tard - mais était-ce bien des minutes, et non des heures, qui s'étaient écoulées ? - entra l'infirmière, avec à son côté... le médecin. Vieil homme repoussant, longue barbe traînant presque au sol, crayon et calepin dans la main, odeur de moisissure suspecte. Un médecin Fundansien, quoi. Avec l'activité économique de la ville, aussi réactive qu'un poulet shooté au vallium, on ne pouvait même pas être sûr que les médecins étaient qualifiés pour ce travail ; les "vrais" médecins travaillaient tous à GM, une ville moderne d'opportunités. D'hôpitaux récents. D'économie stable. <BR> Le médecin s'approcha de moi. <BR> - L'infirmière a passé un certain temps à me répéter vos questions, et j'ai fini par les comprendre, fit-il. <BR> - Alors ? Qu'y répondez-vous ? le pressai-je. <BR> - Vous êtes tombé de votre fenêtre, et vous êtes resté dans le coma presque une semaine entière. Nous vous avons artificiellement nourri - il montra les nombreuses perfusions qui me donnaient un petit air de Frankenstein. <BR> - Et à part ça ? <BR> - Les toilettes sont derrière cette porte, fit-il, moqueur. <BR> - Et Benoît Hardgot ? <BR> - Il est toujours en réanimation. Il n'est pas encore sorti du coma. Je crains qu'il ne se réveille jamais. <BR> Je m'évanouis à nouveau. == Distribution == ''Julien Bernard'' : '''[[Luc de Milleraie]]''' <BR> ''Benoît-Gérard Hardgot/Le présentateur'' : '''[[Freddy Castellucci]] '''<BR> ''Une infirmière'' : '''[[Anna D. Emelie]] '''<BR> ''Une fillette'' : '''[[Annie Kwiat]] '''<BR> ''Le médecin'' : '''[[Max Gibbs]]'''<BR> == Commentaires des producteurs == ''B/G Productions avait laissé un commentaire à '''4/5''' mais il a été effacé en même temps que son compte.'' == Saga == Le film fait partie de la saga Calamity, qui comprend les films suivants : * [[Calamity I : Le cinéma de Meuh-Meuh]] * [[Calamity II : Dans le Metro News Five]] * [[Calamity III : Un Hardgot, ça brûle ?]]
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