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Calamity : En route pour GM
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{{Infobox |name = Calamity : En route pour GM |bodystyle = float:right; valign:top; |title = |titlestyle = |image = http://s3.noelshack.com/uploads/images/19577489675238_calamityenroutepourgmredim.png |imagestyle = |caption = |captionstyle = |headerstyle = background:#ccf; |labelstyle = background:#ddf; |datastyle = text-align:right; |label1 = Genre |data1 = Fantastique |label2 = Date de sortie |data2 = 11 mars 2034 |header3 = Équipe technique |label3 = |data3 = |label4 = Réalisateur |data4 = [[Bettina Aldermann]] |label5 = Compositeur |data5 = [[Adria Calvet]] |label6 = Producteur |data6 = [[Calamity Pictures]] |header7 = Casting |label8 = Premier rôle masculin |data8 = [[Freddy Castellucci]] |label9 = Premier rôle féminin |data9 = [[Diane Beal]] |label10 = Second rôle masculin |data10 = [[Chris Burns]] |label11 = Second rôle féminin |data11 = [[Caroline Gerrard]] |label12 = Guest Stars |data12 = [[André Boulay]]<BR>[[Trudie Flanagan]] |header13= Budget |label13 = |data13 = |label14 = Budget technique |data14 = 3'000'000 $ ('''Série A''') |label15 = Total des cachets |data15 = 904'144 $ |label16 = Budget publicitaire |data16 = 3'000'000 $ |label17 = Budget total |data17 = 6'904'144 $ |label18 = Recettes |data18 = 13'889'720 $ |label19 = Bénéfice |data19 = 101% |header25= Autres informations |label26 = Ville |data26 = [[Fundanse]]<BR>[[Gérardmerveille]] |label27 = Affiche |data27 = [[Calamity Graphism']] |label28 = Scénario |data28 = [[Dylan Thevening]] }} Avec le recul, ce fut un échec, bien qu'accueilli comme un excellent film par la critique. Trop de violence gratuite et trop de sous-entendus ont contribué à faire de Calamity un personnage froid et antipathique. Il va sans dire que, mal servi par la réalisatrice de surcroît, le scénariste [[Dylan Thevening]] fut exécuté d'office. == Scénario == Le dynamique Julien Bernard (Freddy Castellucci) errait dans les rues de Fundanse. Après le développement de Calamity Pictures à Fundanse, il avait jugé utile d'ouvrir une production annexe à Gérardmerveille. Tout d'abord, il ne faisait que donner son avis sur divers films, tous plus ou moins intéressants, tous plus ou moins drôles, tous plus ou moins bien montés, chacun ayant ses propres défauts. Trouver un film parfait ne lui était encore jamais arrivé, même à Fundanse. Il avait sans doute plus d'espoir à Gérardmerveille, mais malgré tout, il resterait profondément Fundansien dans l'âme. Puis, un matin, il prit la décision qu'il redoutait tant quelques mois plus tôt : sa société de vote se mit à produire des films. Que pouvait-il, cependant, faire d'autre ? Les bénéfices qu'il enregistrait sur Fundanse n'étaient pas suffisants. En somme, il perdait un peu d'argent pour en gagner beaucoup plus tard. <BR> <BR> Hardgot, Cronos, Rammstein... tous ces producteurs travaillaient à Gérardmerveille et ne devenaient pas fous pour autant. Sa décision lui parut soudain plus juste, et, son moral intact, il continua sa marche forcée vers l'aéroport. Quelques malheurs lui étaient arrivés, quelques malheurs qui l'avaient forcé à se déplacer seul, sans le chauffeur personnel qu'il prenait plaisir à fouetter dès qu'il se sentait mal. Sans les quelques employés qui, accrochés à sa voiture, quémandaient en pleurant deux ou trois grains de riz. <BR> Ces quelques malheurs, il les avait connu dès qu'il était sorti de chez lui. Il sentait bien que quelque chose ne tournait pas rond, et une terrible odeur flottait dans l'air. L'odeur des cendres, des flammes, des métaux qui fondent et des papiers qui brûlent. Sa voiture incendiée. <BR> <BR> Après une plainte posée en hâte au poste de police le plus proche, Julien Bernard aurait souhaité sauter dans le premier taxi disponible. Sauf qu'aucun taxi ne l'était ; et, de surcroît, aucun taxiste ne pouvait supporter longtemps ses crises d'énervement. De plus, lui ne pouvait pas supporter longtemps les hurlements de douleur des taxistes lorsqu'il passait sur eux sa colère. Mais, lorsque par malheur un taxi était libre dans des moments comme ceux-ci, quelques arrangements avec les hauts fonctionnaires et un généreux don fait au taxiste suffisaient à lui faire oublier les marques rouges qu'il portait au dos et à la poitrine. Le pouvoir corrupteur de l'argent n'avait pas fini de lui être profitable, car il avait de l'argent à profusion, et faisait bien des "erreurs" volontaires. Ces erreurs étaient largement couvertes par ses dollars, même avec la TVA. <BR> <BR> Julien Bernard marchait toujours, tandis que toutes ces pensées se bousculaient dans sa tête. N'était-il pas en train de faire une bêtise ? N'était-ce pas un signe du destin, tous ces malheurs qui lui arrivaient dès l'implantation d'une production à Gérardmerveille ? Julien balaya vite ces pensées. Il se devait de prendre l'avion pour assister à cet important rendez-vous, conclu avec ces importantes personnalités de Gérardmerveille. Il les connaissait bien, ces gens ! Morcar, Ari Golan, Quentin LGD... Mais il fallait bien officialiser les choses, organiser un pot de bienvenue, ou même simplement saluer ceux qu'il connaissait si bien. Il fallait également que le public le sache, qu'il lise dans les journaux la mauvaise nouvelle : "Calamity Pictures s'installe à Fundanse !". Julien se mit soudain à rire. Un rire à l'intonation diabolique, semblable à celui qu'aurait le diable. Ce rire, c'était l'enfer en entier qui ressortait dans l'abominable odeur du dentifrice de Julien Bernard. <BR> <BR> Elle (Diane Beal) l'attendait. Enfin, Julien Bernard osait se rendre dans l'aéroport, en direction de GM. La chose qu'elle attendait la plus au monde, elle arrivait sur son lieu de travail. Elle, c'était une hôtesse de l'air ; et Julien Bernard, son pire cauchemar. Son mari était mort dans les rangs de ses employés, et elle avait fini par se persuader que le responsable était son employeur ; et elle n'avait peut-être pas tort. <BR> Bernard. Comme elle avait haï ce nom du jour où son mari avait été retrouvé mort, broyé par une chute du haut d'un building. Julien l'avait invité le jour même dans un restaurant, au sommet de ce building-là. Mais aujourd'hui, le ciel lui offrait la vengeance. Elle n'était pas fortunée, elle n'avait aucune arme décente ; mais la chance avait voulu qu'elle retrouve le fusil de son père. Les policiers la connaissaient, ils n'allaient tout de même pas vérifier ce qu'elle portait sur elle ; elle passa le barrage des rayons X en saluant aimablement un des policiers. Elle arriva près du pont d'embarquement et se mit à attendre patiemment. Elle bouillait toutefois, même si son visage semblait dire le contraire. <BR> <BR> Julien Bernard avançait toujours vers la mort, une main posée sur son coeur, prêt à s'évanouir de fatigue. Il avait couru longtemps, et son avion partait dans dix minutes ; il passa sans encombre le test des rayons X en faisant un généreux chèque aux agents de sécurité (André Boulay / Trudie Flanagan), se dirigea vers les toilettes. Elle lui emboîta le pas. <BR> Il ouvrit la porte du premier W.C. et ferma le verrou tandis qu'entrait la femme. Elle sortit calmement son fusil, visa la porte des W.C. et tira par trois fois. Aucun cri ne retentit. Alors, dans un cri de rage, elle enfonça la porte pour découvrir un homme, refaisant tranquillement son lacet. Julien Bernard se releva, lui arracha le fusil des mains et le pointa sur elle. <BR> - Va-t-en, cracha Julien. Je ne tuerai pas une fille. <BR> Elle se retourna et ouvrit la porte. Julien visa rapidement et fit feu. <BR> Un hurlement résonna dans toute la pièce, et du sang gicla sur le veston de cérémonie du directeur de Calamity. Il poussa un soupir lorsqu'il entendit des bruits de pas et des cris, et jeta le fusil dans la cuvette des toilettes. <BR> Il sortit de son WC. <BR> - Bien le bonjour ! fit Julien lorsqu'il aperçut l'inspecteur Lapérou (Chris Burns) dans la masse des policiers. Comment allez-vous ? <BR> - C'est vous qui... fit l'inspecteur en frissonnant. <BR> - Qu'allez-vous donc imaginer ? fit Julien en glissant discrètement un billet de 500 dollars dans sa poche. <BR> <BR> Julien attrapa l'avion à la dernière minute. Il avait passé plus de temps qu'il ne le prévoyait dans les WC, et son veston plein de sang ne manqua pas d'attirer l'attention. Il donna une vague explication impliquant des saignements de nez chroniques et distribua quelques dollars à la Sécurité, mais rien d'insurmontable ne vint contrecarrer son voyage. Dans deux heures tout au plus, il arriverait à Gérardmerveille, et quinze minutes plus tard, il s'emplirait de petits fours et de champagnes en compagnie des plus grands producteurs de la ville. <BR> Il souriait. == Commentaires des producteurs == ''Note : 3,5/5.<BR> Les commentaires ont été effacés.'' == Saga == Le film est un spin-off de la saga Calamity, qui comprend ces films : * [[Calamity I : Le cinéma de Meuh-Meuh]] * [[Calamity II : Dans le Metro News Five]] * [[Calamity III : Un Hardgot, ça brûle ?]]
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