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Un Grain De Folie Dans Les Salles Obscures
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{{Infobox |name = Un Grain De Folie Dans Les Salles Obscures |bodystyle = float:right; valign:top; |title = |titlestyle = |image = [[Fichier:Wester10.jpg|250px]] |imagestyle = |caption = |captionstyle = |headerstyle = background:#ccf; |labelstyle = background:#ddf; |datastyle = text-align:right; |header1 = Informations |label1 = |data1 = |header2 = |label2 = Création |data2 = 6 Septenbre 2019 |header3 = |label3 = Réalisateur |data3 = [[Perceval Grain]] non crédité |header4 = |label4 = Genre |data4 = Documentaire |header5 = |label5 = Nombre de spectateur |data5 = 198000 |label6 = Site web |data6 = http://www.cinejeu.net/index.php?page=p&id=54&unite=fenetre§ion=vueFilm&idFilm=15593 }} '''Un Grain De Folie Dans Les Salles Obscures''' est un documentaire produit et réalisé par [[Perceval Grain]], chez [[Grain de Folie Films]]. == Histoire == Gérardville… C’est là où je suis né… Et c’est ici que je suis mort… Mon nom est Perceval Grain. J’ai 47 ans et ce film est l’histoire de ma vie. Celle-ci a réellement commencée le 10 février 2007 lorsque mon tout premier film : Erik Le Rouge est sortie dans les salles obscures, et que malgré son petit budget, il a rapporté suffisamment pour que la maison de production que je venais de créer : Grain de Folie Films, puisse produire de plus en plus de films. Jusqu’alors, producteur novice, il fallait que je me démarque auprès de mes pairs et je leur ai proposé un projet commun. Je produisais le premier film d’une saga, dont chaque producteur qui le souhaitait produisait la suite. Ainsi était né : Western Union. Huit opus ont suivit le premier. Là encore, le succès était encore au rendez-vous. Les maîtresses passaient et repassaient. La drogue et l’alcool ont accompagné mes nuits les plus folles dans les boîtes de nuit VIP de la ville. Je m’enivrais de tout ce cinéma. Ma vie devenait elle-même un film. La plupart des journaux m’appelait le nouveau Spielberg. Et là, ce fut de ma période mégalo. Depuis tout petit, j’étais à la recherche de la reconnaissance, et enfin, après toutes ces années de dur labeur, j’étais enfin reconnu. J’allais laisser une trace dans l’histoire du 7ème Art. Cette période fut celle où je méprisais totalement mes confrères producteurs, où je les ridiculisais, par exemple, dans mes films dont notamment la série des films « Cinéjeu ». Mon ascension s’est accélérée à la sortie du premier opus d’une série d’animation, mettant en scène Karl et Laure, qui allaient être les idoles de toute une génération de bambins : « Vendetta De Folie ». Des figurines des personnages se sont vendues à des millions d’exemplaires. Possédant tous les droits sur les produits dérivés, ayant pris comme modèle Lucas qui avait fait la même chose pour Star Wars, je me suis enrichit encore plus. Je savais que ce film avait un potentiel et j’ai su l’exploiter au maximum en en sortant Sept au total. Nos studios ont créé également une star : Bruce Syphilis. Ne vous fier pas à son nom, cet homme savait tout jouer, tout faire. Je l’ai lancé dans une parodie des « Die Hard » avec Willis. Ce fut les 4 « Try Hard » qui révélèrent Bruce. Mais pour lui la consécration arriva lorsqu’il prit le costume d’un détective privé : Jack Warner. Là encore, mon idée était de reprendre des noms de mes confrères, mais pas de les ridiculiser, cette fois, mais de les mettre dans des intrigues assez noire, style vieux polar des années 40 mais à la mode contemporaine. « Walken Project » fut le premier de la série. Le ton fut tout de suite donné. Ce film était également fait pour marcher, et ce fut le cas. Plus les succès s’enchaînaient, et que ma maison de production montait sur les marchés du cinéma, moi je sombrais de plus en plus dans l’alcoolisme et les drogues, quelles qu’elles soient. Cela me vaudra trois séjours à l’hôpital, dont un, où je faillis y rester. Pendant ces périodes, ma maison de production du être mise en vente plusieurs fois. Mais à chaque fois que j’ai remonté la pente, j’ai racheté les bâtiments. Ils avaient une valeur trop sentimentale à mes yeux pour que je les laisse partir. Les années passaient, les succès et quelques navets également. « Destiné », un film que je qualifiais moi-même de moyen a su touché le cœur des spectateurs, étant resté 96 semaines à l’affiche, ce qui n’a jamais été égalé jusqu’à présent. Pendant ces années, j’ai joué et réalisé quelques films, sans grand succès. Je faisais juste ça par plaisir. Mais la réalisation m’a toujours tentée et, je pense, que je retenterai l’aventure un jour, qui sait… 2014. Pour moi, 2014 est le chiffre du diable. L’année de la descente aux enfers. Je perds tout aux jeux. Et je deviens en quelques heures un légume, errant dans les rues, dormant sous les ponts. Ca fait cliché, n’est-ce pas ? Le gars qui passe de la réussite ultime à la déchéance ? Dîtes-vous bien que pendant mes années de mégalomanie, ceux qui se prétendaient être mes amis n’étaient en fait là que pour grappiller le moindre billet que je voulais bien leur lancer. Une fois que les huissiers soient venus sonner à ma porte pour tout me prendre, le téléphone sonna de moins en moins. Personne ne répondait ou ne voulait m’aider. Je me rendais compte d’un coup que j’étais quelqu’un de seul. J’étais passé de la case « Salle du trône » à la case « Guillotine » sans passer par la « Bastille »… J’ai commencé à arpenter les routes, faisant des petits boulots, comme dans mes débuts. Le travail agricole ne me rebuta pas, loin de là. Il me rappela mon passé, lorsque je travaillais avec mon grand-père dans ses vignes, étant enfant. Je me suis éloigné au fil des mois, de l’alcool, de la drogue et des ces nuits de perversions, revenant à des valeurs beaucoup plus simples. J’aurai pu revenir dès 2016. J’avais les moyens de revenir. Malgré tous mes déboires, mes films se vendaient toujours en DVD et c’était la base de mes revenus moyens. Et croyez moi, mes films se vendaient plutôt pas mal. Cette déchéance m’a été salutaire. Je ne voulais pas précipiter mon retour. C’est en voulant aller trop vite que l’on se fait mal en se cognant au mur que l’on n’a pas vu arriver. Lors de mes divers séjours, je m’étais aperçu que les gens avaient une mauvaise opinion de moi et ne voyaient en moi que le personnage publique. Le regard de ces personnes toute simple, vivant avec le minimum mais qui respiraient la sympathie et le bonheur qui m’ont fait ouvrir les yeux. Il fallait que je redevienne le Perceval de mes vingt ans. Alors pendant les deux années précédant mon retour, je me suis imprégné d’eux. J’ai enseigné les rudiments de la réalisation a des enfants dans les écoles, leur apprenant à créer une histoire, un script, à créer les personnages, les décors, faire un story-board, et avec tout ceci, ils ont créé leur premier dessin animé. J’ai de nouveau repris possession de mes studios. Ce documentaire tout simple en sera le premier film. Je repars de zéro. Je n’ai peut-être plus cette folie des grandeurs que j’avais par le passé, mais j’ai retrouvé la passion de vous servir, à vous, public, de nouvelles bonnes histoires, de belles images dans chacun de mes films avec un tout petit grain de folie dans chacun d’eux. Retrouvez Perceval Grain comme vous ne l'avez jamais vu qui se confie à sa caméra tout simplement afin d'exorciser les démons de son passé. Grain de folie films revient sur vos écrans encore plus fort et grandi et compte bien participer encore à la magie du 7ème art. Tout de suite après ce documentaire, retrouvez un résumé des épisodes précédents de la saga Jack Warner, qui reviendra très bientôt sur vos écrans signant le grand retour de Bruce Syphilis.
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