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Le syndrome de l'ascenseur
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{{Infobox |name = Le syndrome de l'ascenseur |bodystyle = float:right; valign:top; |title = |titlestyle = |image = http://www.noelshack.com/up/aac/le-syndrome-de-l-ascenseur-bb0a497150.png |imagestyle = |caption = |captionstyle = |headerstyle = background:#ccf; |labelstyle = background:#ddf; |datastyle = text-align:right; |label1 = Genre |data1 = Horreur |label2 = Date de sortie |data2 = 30 avril 2033 |header3 = Équipe technique |label3 = |data3 = |label4 = Réalisateur |data4 = [[Dan Looper]] |label6 = Producteur |data6 = [[Calamity Pictures]] |header7 = Casting |label8 = Premier rôle masculin |data8 = [[Luc de Milleraie]] |label9 = Premier rôle féminin |data9 = [[Anna D. Emelie]] |label10 = Second rôle masculin |data10 = [[Dylan Kristian]] |label11 = Second rôle féminin |data11 = [[Amy Maher]] |header12= Budget |label12 = |data12 = |label13 = Budget technique |data13 = 300'000 $ ('''Série B''') |label14 = Total des cachets |data14 = Information disparue |label15 = Budget publicitaire |data15 = Information disparue |label16 = Budget total |data16 = 556'687 $ |label17 = Recettes |data17 = 3'061'985 $ |label18 = Bénéfice |data18 = 450 % }} Un film dont l'idée trottait dans la tête de [[Dan Looper]] depuis un certain temps. Après une période de réflexion et d'écriture de scénario, s'inspirant des plus grandes productions de tous genres et de tous horizons, le réalisateur proposera son projet à [[Dice Calamity]] qui le refusera de prime abord, en janvier 2033. Il faut dire qu'à cette époque, les finances de Calamity sont à un point peu élevé bien qu'honorable, et la société ne peut pas se permettre de faire une folie - les moyens à investir pour les effets spéciaux étant assez élevés. Mais [[Dan Looper]] ne démordra pas de cette idée, ce qui finit par payer car, le 1er avril 2033, la société Calamity le contacte en lui annonçant que son projet était finalement accepté. Le réalisateur, fou de joie, fit le casting le plus rapide qu'on ait connu, et, en trois jours seulement, le tournage du film fut lancé. Le film a finalement eu le succès escompté malgré une équipe parfois à la traîne qui retarda la sortie du film. == Scénario == Nous sommes le 28 octobre, il est 17 heures 49, et un appel anonyme va bouleverser la vie du quartier et même de la ville entière, un appel terrifiant reçu par le maire en personne. Le bureau du maire. Les murs, recouverts d'un lambris douteux et mangé par les vers, prouve que le financement des rénovations de la mairie est passé par la poche de quelqu'un sans arriver entier jusqu'à l'entreprise. Le téléphone, modèle de 1956 trônant comme le Graal sur un piédestal, émet un bruit de crécelle amplifié. Le maire, endormi dans un fauteuil mangé aux mites, se réveille en sursaut. Il sent que quelque chose ne tourne pas rond. <BR> Après une dizaine de sonneries, il décide enfin de décrocher, d'assez mauvaise humeur. <BR> - Oui, c'est le maire au bout du fil. Une erreur, sans doute ? <BR> - Absolument pas, fait une voix glacée au bout du fil. Je tenais à vous signaler une petite chose. <BR> - J'écoute. <BR> - Je vais tuer des dizaines de personnes. Une par jour, un peu partout dans la ville. Vous ne me trouverez jamais, je vous arracherais les membres un à un pendant mon interrogatoire, avant de sauter par la fenêtre et de continuer mes crimes, impuni. Je suis armé d'une bonne dizaine de couteaux, mais mon arme de prédilection est la terreur. Je tuerai tous ceux que je veux à l'aide d'une seule arme : la peur. Ils auront des crises cardiaques et vous ne me trouverez jamais. <BR> Le maire suffoque au bout du fil. Il articule : <BR> - V...vous allez... <BR> - Au revoir, monsieur le maire, fait l'homme d'une voix cordiale. Prenez soin de vous ! Vers 23 heures, dans l'ascenseur du 6, rue du Tremplin. Une prostituée de métier rentre et appuie sur le bouton du sixième. Soudain, une ombre saute dans l'ascenseur pendant qu'elle a le dos tourné, et un souffle chaud réchauffe le cou de la femme. Elle sent ses vêtements tomber un à un, l'homme la serrer dans ses bras, la jeter par terre, la baiser passionnément et... <BR> Elle hurle. L'homme se relève brutalement, et regarde la femme dans les yeux. Elle hurle à nouveau. La terreur qu'elle vient de ressentir est atroce, elle ne peut plus regarder ce qu'elle vient de voir. Elle ne bouge plus, et l'homme arrache ce qu'il lui reste de vêtements. La prostituée, violée dans l'ascenseur, agonise sans qu'aucune arme ne l'ait frappée. Et l'homme, soudain, n'est plus là. <BR> Charles Tismon, veilleur de nuit dans un camping public, va, lui, au travail. Il habite au sixième étage. Naturellement, il prend l'ascenseur : il ne veut pas se fatiguer. Il presse le bouton, et la porte s'ouvre tout de suite sur une scène épouvantable. - Chef, chef ! On a un appel ! <BR> - À cette heure là ? <BR> - Désolé, chef. On arrête pas de dire aux assassins de ne tuer les gens qu'entre 8 heures et 18 heures, mais on dirait qu'ils ne sont pas d'accord. <BR> - Meurtre ? <BR> - Viol seulement. La femme est morte de crise cardiaque. <BR> - De crise cardiaque ? <BR> - Sous l'effet d'une peur atroce. Elle a eu si peur qu'elle en est morte. Le maire reçoit un appel à une heure du matin. Depuis ici, tout s'enchaîne très vite. La victime est emmenée à l'hôpital Badinter, mais les médecins, d'avis contraires, ne parviennent pas à découvrir la véritable cause de l'incident. La camionnette du cimetière s'impatiente. On y charge la femme, on referme. La camionnette part. <BR> A l'intérieur du cercueil, un oeil s'ouvre. Puis un autre. Dans la voiture qui suit le corbillard, le conducteur croit rêver. Mais cela se passe vraiment. Les gonds du coffre à cercueils est violemment repoussé sur la route, et une femme en habit mortuaire en sort. Elle n'a pas l'air en état de choc. Elle paraît même très normale, si on excepte les taches de sang qui la maculent - sans doute des coupures dues aux éclats de bois du cercueil et de verre de la vitre du coffre. <BR> Le zombie, car c'en est un, se précipite sur la voiture. <BR> La fenêtre se ferme. Elle est brisée par un bras d'acier. Des bras emportent le conducteur, et la voiture s'écrase contre un rocher, réduisant ses occupants à l'état de miettes de chair humaine. <BR> Puis la femme n'est plus là. Son cercueil est toujours éventré, mais elle est dedans à nouveau, comme si elle n'avait rien à voir dans ce qui venait de se passer. <BR> Ce qui est fort dur à admettre. == Commentaires des producteurs == '''Cronos Entertainment''' : il y a un bon travail. ''4/5''. == Saga == Le film ne fait partie d'aucune saga et n'a pas de suite prévue. Enfin, pour le moment.
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