Voir le texte source
De WikiCinéjeu.
pour
5. Lust (La Luxure)
Aller à :
Navigation
,
rechercher
Film sorti en salle le '''5 août 2040''' '''Genre''' : Thriller '''Durée''' : 120 min '''Réalisateur''' : Harvey Spike '''Acteurs, actrices''' : Rene Henriksen [[Tia Starcks]] == Promotion du film == Affiche : http://img11.hostingpics.net/pics/2064665Luxure.jpg Bannière : http://img11.hostingpics.net/pics/494577bannluxure.jpg == Synopsis == -1- GérardMarvellous – (Patrick Mayers et Maria White-Hopkins) -2 - San Francisco – (Sue Mayers et Glen Gallaghan) -1- Ce séminaire organisé à GérardMerveilles par le siège social de la NationsBank était l’alternative idéale pour Patrick Mayers (Rene Henriksen) de changer son fusil d’épaule. Dans son for intérieur, rien ne l’empêchait si le rendez-vous entre Sue et Glen Gallaghan se passait mal de fuir après tout, refaire sa vie tout simplement … avec Maria (Tia Starcks) … pourquoi pas ? Il prendrait des nouvelles en fin de journée. Sue était une femme manipulatrice et quand elle le voulait, quand elle se sentait en danger, elle était capable de n’importe quoi. Patrick en savait quelque chose car à l’instar de Bill et Maria, c’était bel et bien Sue qui était allé chercher Patrick quand ils s’étaient rencontrés… Patrick Mayers avait promis 3 jours de détente à Maria et il profiterait de ces instants douloureux qu’elle vivait actuellement pour lui changer les idées et il savait comment faire. L’avion descendit doucement pour s’apprêter à atterrir et du hublot, Patrick Mayers vit les pistes d’atterrissage. Passablement éméchée, Maria profita de ce moment-ci pour renouveler ses avances de manière grossière puisque tout le monde était attaché à attendre l’arrêt définitif de l’appareil : elle prit à pleine main l’entre jambe de Patrick tout en le caressant : pour elle c’était clair, elle avait pris au pied de la lettre le sms qu’elle avait reçu de son amant. Elle le cherchait et il la trouverait sans problème en tant voulu. -2- Elle avait tout planifié. Sue prit donc le combiné et savait exactement ce qu’elle allait dire à Glen Gallaghan. Elle réussit à négocier un rendez-vous dans un endroit neutre avec seule certitude que le journaliste vienne avec l’article en question contre une rondelette somme d’argent. Rendez-vous pris, ils devaient se retrouver au pub irlandais que Glen connaissait. Sans qu’elle le sache, il était donc en terrain familier… un bon point pour lui. Quant à Sue, tout en se préparant, ce rendez-vous lui rappelait de vieux souvenirs, elle qui avait séduit nombre d’hommes dans sa jeunesse mais pas suffisamment aisé pour lui permettre de mener une vie de femme exaltée. Et quand on touchait à sa vie, elle le payait de sa personne. Son amie Rondha était de la partie également et participerait à l’opération. Méticuleusement elle se maquilla et enfila un tailleur fin, si fin que l’on distinguait clairement ses formes généreuses, comme à l’époque elle ne mit pas de culotte. --- -1- Jason O’Sullivan filait le couple depuis le décollage et avait prit place dans l’avion en toute discrétion. Il serait libéré à condition d’apporter la preuve réelle de la relation entre Patrick Mayers et Maria White-Hopkins et surtout prouver que Patrick Mayers était au courant du projet de Bill Hopkins avant le lancement de la Bank Of Americard. Arrivé en fin de matinée à GérardMerveilles, il fila dans le même hôtel que le couple, à une distance relativement lointaine et s’installa dans une chambre. Le séminaire ne commençant que l’après-midi, Patrick Mayers et Maria s’installèrent également dans leur chambre et purent enfin se détendre. Maria était encore fragile mais Patrick n’en avait cure : il était ici en tant que maître de conférence, il serait odieux comme à son habitude en ce qui concerne son job et Maria ferait office d’éponge mais pour l’heure, il avait commandé quelques bouteilles de champagne pour fêter leur escapade. Maria s’était considérablement relâchée depuis les récents événements et la rigueur qui la distinguait des autres collègues s’était complètement envolée. 2 décès en quelques semaines l’avait abattue et elle se devait de penser à autre chose, de compenser par autre chose : Patrick prit l’initiative de la faire boire et sexuellement parlant, il en redemandait et elle lui faisait ce qu’il voulait. Maria, allongée nue sur le lit l’attendait et fébrile, elle se caressa. Patrick se déshabilla tout en matant son amante, un rictus malsain aux lèvres et il se dit qu’il n’avait jamais eu ce tempérament avec Sue puisque c’était elle la dominatrice. Enfin, il la pénétra insidieusement et la travailla en gémissant jusqu’à explosion. Un gémissement rauque envahit la pièce, et décupla l’excitation de Maria qui, la tête dans l’oreiller, les doigts accrochés aux draps, secouées de toutes parts, explosa à son tour. Ruisselant de sueurs, le couple s’affaissa sur le lit et se caressait toujours avant de se restaurer et de rejoindre les collègues dans la salle de réception, pour partir en direction du séminaire. -2- Arrivée au pub, Sue de dirigea vers une des tables du fond. Glen avait posé son dossier sur la banquette à côté : signe de reconnaissance pour la rencontre. Rhonda était déjà présente depuis un moment car elle avait vu Glen s’installer et discuter avec le patron du pub. C’était noté pour elle, il était en terrain connu, Sue devait se méfier mais elle saurait comment faire. Les 2 amies étaient d’anciennes call-girls et Sue avait rencontré Patrick et s’était jeté sur lui. Rhonda appréciait Sue mais même elle, une de ses meilleures amies, la craignait car Sue pouvait aller loin, très loin. De sa place, elle vit Sue arriver et se pencher pour saluer le journaliste. Glen n’en fit rien et lui demanda de s’asseoir immédiatement. Le gars n’y allait pas par 4 chemins visiblement. L’un en face de l’autre, ils commencèrent à discuter et Glen, le premier, mit Sue devant le fait accompli : de l’argent ou l’article serait publié. Manifestement sur la réserve, elle n’en démorda pas et lui demanda preuve à l’appui que l’article était bien là ainsi que toutes les recherches effectuées par Jason O’Sullivan. Surpris par sa répartie et quelque peu interloqué, Sue entrevu le mince sourire sur Glen tandis qu’il cherchait ses documents : c’était le signe. Signe indéniable qu’il n’était pas indifférent aux femmes avec du tempérament. Elle se pencha en avant tout en ne perdant pas de vue son objectif. Elle jeta un œil à Rhonda qui lui répondit par un clin d’œil. Glen se releva et vit le décolleté de Sue, il se reprit immédiatement et lui brandit sur la table les documents et l’interrogea sèchement sur l’argent, où était-il ? Les hommes sont ce qu’ils sont et Sue tendit sa jambe sur l’entrejambe de Glen. Surpris, il recula au fond de la banquette instinctivement mais il avait bien une érection, certes non voulue et il ne se doutait pas que cette femme réagirait de la sorte. Elle lui répondit que la valise, l’argent était dans sa voiture et qu’elle n’allait pas risquer de sortir avec cette somme ici. Et subrepticement, elle lui proposa ouvertement une compensation manifestement autre que pécuniaire pour le faire taire définitivement sur le sujet. --- -1- Voilà, c’était là que Patrick Mayers se trouvait dans son élément. Entouré de ses collègues issus des diverses agences, il était au centre de toutes les attentions. Il s’était défoulé sur Maria, ce qui l’avait rendu plus posé et maître de lui. Madame White-Hopkins, était là, pour l’assister et elle tentait de devancer chacun de ses gestes. Elle le connaissait bien maintenant et l’alcool aidant, elle se dit tout de même qu’elle aurait dû depuis longtemps se séparer de Bill, elle n’eut aucune pensée pour ses enfants à ce moment-là. En contact régulier avec les agents de police restés dans la chambre, Jason suivait sous bonne garde les employés de la banque vers le lieu du séminaire : ?????. Celui-ci était public et il y serait, il ne raterait cela pour rien au monde. Les personnes marchaient au pas de charge et ils entrèrent dans le luxueux endroit loué pour l’occasion par la banque. Certains médias étaient là et les personnes affluèrent. La raison de se séminaire était simple : il s’agissait d’un droit de réponse aux journalistes ayant diffusés l’information selon laquelle la banque aurait contrecarré le projet initié les pionniers, la Bank Of Americard. Bien qu’en nombre certain, la tension était bien présente dans la salle et tout le monde attendait le spitch du Directeur commercial, Patrick Mayers ainsi que celle du patron de la banque. La salle était bondée d’hommes, de femmes d’affaires issus tous plus ou moins du milieu banquier. Jason en faisait parti et lorsqu’on fit signe à Patrick de bien vouloir se diriger vers la scène, il eut également le feu vert pour se lever rapidement de son siège pour croiser Patrick au moment où celui-ci montait sur scène. -« Le monstre vous salut bien bas Monsieur Mayers, et il va écouter toutes vos insanités » fit Jason le plus calmement du monde, en regardant Patrick. Il eut un arrêt net mais bref, Patrick redescendit sur Terre pour rejoindre l’enfer lorsqu’il vit Jason O’Sullivan. Stupéfait, il s’attendait à tout sauf à cela. Décontenancé il poursuivit sa marche jusqu’au podium comme si de rien n’était. La démarche incertaine, il alla vers le micro et débuta le séminaire tout en fixant Jason, confortablement installé. -2- Glen s’empressa de ranger ses affaires et fit signe discrètement au patron que tout était ok et il se détendit également, il suivit Sue et ils sortirent du pub et prirent la direction de son véhicule. Tout en marchant, il jeta un œil aux alentours et serra instinctivement son attaché-case, Patrick était un enfoiré de première, Glen lui rendrait la monnaie de sa pièce. Près du véhicule, il lui intima de lui montrer l’argent, ce qu’elle fit immédiatement en ouvrant le coffre de la voiture. Sue se pencha volontairement pour prendre la valise, Glen s’aperçut qu’elle ne portait strictement rien dessous son tailleur … Elle prit la valise et l’ouvrit, elle révélait un espace comble de billets et ils étaient bien réels, à vu de nez il y avait au moins 1 million de dollars. Son sang ne fit qu’un tour, et Glen, satisfait, attrapa Sue par les bras et la serra contre lui. Son sexe dur bouillonnait et Sue poursuivit son plan comme prévu. Elle posa sa main contre son pantalon et frotta rapidement, puis prit son bras pour l’entraîner dans le véhicule. Rhonda, dans le pub, surveillait l’heure et attendit que le patron du pub soit occuper pour sortir, elle prit soin de prendre la bouteille de vodka qu’elle venait de s’enfiler. C’est debout qu’elle s’aperçut de son état d’ébriété. Elle repéra difficilement le véhicule de Sue puis s’avança. Sue n’avait finalement rien perdu et faire l’amour à un inconnu l’avait aguerrie de nouveau. Elle releva la tête et s’essuya précautionneusement la bouche. Glen, avachi, sur le siège arrière, était nu et l’air satisfait, il se détendit mais put voir Sue sourire également ce qui le mit soudainement mal à l’aise. Sue leva les yeux derrière lui. Sans crier gare, la porte où sa tête reposait s’ouvrit et la bouteille de verre frappa violemment Glen. Sue se protégea et la bouteille explosa sous l’impact. Glen, ouvertement blessé au crâne, était évanoui. Les 2 femmes ramenèrent Glen correctement sur la banquette arrière en le glissant puis Sue reprit la mallette des billets et l’attaché-case. Rhonda et Sue s’en allèrent faire un tour à la banque puis repartirent. --- -1- Manifestement, le public avait ressenti un sérieux malaise dans le discours de Patrick Mayers, et Jason, confortablement installé dans son siège, écoutait et prenait des notes. Le sourire en coin, il était toujours relié via une oreillette aux 2 agents se trouvant dans la chambre d’hôtel. Tout était enregistré et noté : dorénavant, Jason tenait sa revanche. Patrick Mayers, le grand commercial qu’il était, avait prit un sacré coup dans l’aile et il se justifiait et répondait aux questions du mieux qu’il le pouvait sans trahir sa version vis-à-vis du projet de la carte bancaire. Ce qu’il craignait le plus, c’était une intervention de Jason O’Sullivan. Il pouvait à tout moment faire un esclandre mais était-ce dans son intêret ? Pas sûr … et c’est ce qui rassura Patrick. Tout en parlant, il chercha Maria dans la salle … en vain. C’était elle la solution, elle devait s’occuper de Jason impérativement. Introuvable, elle était introuvable ; cela Jason l’avait bien deviné en le regardant la chercher. Il se mit debout et coupa la communication. Patrick eut une légère quinte de toux en le voyant se lever puis se reprit doucement quand il le vit partir en direction de la salle annexe. Jason était content de lui, il avait pu enfin et ouvertement se venger en son nom et en celui des Hopkins. Si tout se passait comme prévu, Glen était en possession actuellement d’un sacré paquet de pognon. Il vit Maria près du buffet, se servant verre sur verre. -« Enfoiré de Patrick Mayers » se dit-il, il avait même réussi à foutre en l’air la vie de Maria Hopkins en se servant d’elle mais si elle était consentante. -« Pauvre femme » se dit-il tout en se rapprochant d’elle. Instinctivement, elle leva son verre lorsqu’elle vit Jason, les yeux apeurés … le retour du cauchemar pour elle. -« Ne m’approchez pas ! Ou j’hurle ! » fit Maria. Elle était complètement raide, et Jason entreprit de la calmer avant de lui expliquer toute la situation : la mort de son mari, le suicide de son fils et ses causes, l’emprise de Patrick Mayers sur elle … Jason lui rappela les souvenirs qu’il avait avec Bill et ce que Bill racontait à Jason en parlant de sa famille. Maria, en larmes, fut finalement convaincue et ils partirent tous les deux à l’hôtel pour parler, laissant Patrick et son séminaire. -2- Rhonda, au volant, conduisit Sue à la NationsBank afin d’encaisser de nouveau la somme qu’elle avait retiré de leur compte commun. Ni vu, ni connu elle effaça les éventuels soupçons quant à la somme retirée, une aussi grosse somme ne pouvait être que soupçonneux. Rhonda patienta tout en jetant un œil sur Glen … elle ne l’avait pas loupé … Elle tapota nerveusement sur le volant en priant que Sue revienne rapidement, elle ne tenait pas à avoir un macchabé dans le véhicule. Sue saurait quoi en faire. L’attente dura 15 minutes et Sue revint, souriante et l’air machiavélique, qui déplu à son amie. -« Voilà ! c’est fait, maintenant tu vas à cette adresse » fit Sue et lui tenant un papier. Ok … et ils partirent pour arriver devant une maison habitée. Sue sortit doucement de la voiture et vit, avant de laisser le corps ensanglanté de Glen sur le trottoir, les enfants de Maria, à l’intérieur – Scott et Bryan avec la nounou. == Résultats == Pour sa première semaine d'exploitation, le 5ème volet de la Collection Frisco réunit '''517 138 spectateurs''' soit la '''8ème place du box-office.''' Pour sa deuxième semaine d'exploitation, le 5ème volet de la Collection Frisco réunit '''188 994 spectateurs''' soit la '''13ème place du box-office.''' Pour sa troisième semaine d'exploitation, le 5ème volet de la Collection Frisco réunit '''120 116 spectateurs''' soit la '''23ème place du box-office.'''
Modèle:Infobox
(
voir la source
)
Modèle:Infobox/row
(
voir la source
)
Modèle:Navbar
(
voir la source
)
Modèle:Transclude
(
voir la source
)
Revenir à la page
5. Lust (La Luxure)
.
Affichages
Page
Discussion
Voir le texte source
Historique
Outils personnels
Créer un compte ou se connecter
Navigation
Accueil
Cinéjeu
Forum
Modifications récentes
Page au hasard
Aide
Rechercher
Boîte à outils
Pages liées
Suivi des pages liées
Pages spéciales