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Film sorti en salle le '''21 juillet 2040''' '''Genre''' : Thriller (Action) '''Durée''' : 2h10 '''Réalisateur''' : Donovan Gorman '''Musique score''' : Steven Francke '''Acteurs, actrices''' : ''1ers rôles'' : Basil Duval [[Joy Anderson]] (actrice issue du studio) ''2nd rôles'' : [[Edward Bradford]] (acteur issu du studio) Lisa Bates == Promotion du film == Affiche : http://img11.hostingpics.net/pics/378990humangunproject.jpg Bannière : http://img11.hostingpics.net/pics/516231bannhumangun.jpg == Synopsis == - San Francisco – Année 2040 La Guérilla urbaine avait atteint des limites qu’elle n’avait jusque là jamais dépassées et la violence des actes commis par les forces de sécurité au quotidien avaient fini par faire se révolter les habitants de San Francisco, asphyxiés et excédés par la terreur engendrée par la politique du Maire James Maverick (Edward Bradford), depuis 5 ans au pouvoir. Son but était simple : arrêter la prolifération des armes à feu dans la ville et cela passait par des nouvelles règles qu’il avait lui-même mis en application. Le régime sécuritaire actuel s’était donc considérablement développé à tel point que l’on avait atteint un point de non retour. La violence de l’ordre sécuritaire avait complètement englobée la plupart des villes et il régnait une atmosphère lourde de terreur, les armes à feu résonnaient et les civils craignaient tout de l’ordre établi. Les rares révoltes partisanes s’étaient disséminées rapidement et plus que tout, le gouvernement avait purement et simplement arrêté la production d’armes et plus aucune d’entre elles ne devait être entre les mains des civils. James Maverick, le maire de San Francisco, avait d’ailleurs lui-même présenté le projet de loi auprès de l’assemblée qui l’avait adopté à l’unanimité, enfin d’après les dires des partisans. Il fut donc mis en place, sur la totalité du territoire San Franciscain, une collecte « forcée » des armes. Des milices furent alors crées, elles étaient chargées ni plus ni moins de fouiller chaque maison et de se débarrasser des armes que possédaient ou dissimulaient encore les civils. James Maverick chargea Maddy Randall (Joy Anderson), Ministre de la sécurité, de rappeler sur le terrain tous les anciens experts et agents de la police pour effectuer cette tâche nécessaire. Tous avaient été rappelés sans exception et tous semble t’ils coopéraient. L’opération de démantèlement fut un succès, du à un travail de longues haleines puisque l’éradication des armes prit 5 années. Cela engendra une première guerre civile historique dans l’histoire de la ville de San Francisco. Dorénavant, le gouvernement avait le total contrôle sur les armes et la répression sécuritaire de la police régulait désormais la vie des habitants de San Francisco. James Maverick, régissait donc depuis maintenant un peu plus de 5 ans la ville de San francisco d’une main ferme et la quasi-totalité des quartiers étaient contrôlés par les forces de l’ordre. 5 ans auparavant, personne n’aurait pu croire un seul instant à ce qu’allait devenir cette ville qui était alors sous le joug des violences urbaines. James Maverick, personnage relativement peu connu dans la sphère politique San Franciscaine avait fait ses marques dans l’armée américaine tout en faisant en parallèle des études scientifiques poussées. La convergence vers le milieu politique l’avait pris lors d’une rixe un soir entraînant la mort tragique de son épouse entre deux bandes rivales sur fond de drogues, elle fut tuée par une balle perdue. Dès lors, James déploya toute son énergie dans la suppression totale des armes détenues puisqu’elles étaient, à l’époque, toujours en vente libre. Et en l’espace de 5 ans, il avait parcouru du chemin et avait convaincu les citoyens en promettant la sécurité des rues et des personnes tout en appuyant sa candidature sur le fait qu’il faudrait purement et simplement arrêter la vente d’armes. Ce fut bien le cas mais à tous les niveaux et d’une manière excessive. Dans ce monde, tout était dorénavant régi par la sécurité et les hordes miliciennes de la police régnaient dans les rues et chacune d’entre elles avaient sa propre manière de sécuriser sa zone. Dans les rues régnait maintenant une impression de chaos … l’ordre et la sécurité avaient engendré la peur chez les citoyens et ils ne sortaient que rarement, de peur d’être pris à parti par les miliciens qui n’hésitaient absolument plus à faire régner l’ordre par la force, c'est-à-dire à contrôler et à punir sévèrement.. Les moyens de communication étaient maintenus sous contrôle avec une censure de la part du gouvernement, axant les programmes vers des émissions non violentes. L’accès à Internet était également filtré et tout était sous contrôle. Bien évidemment, quelques civils audacieux avaient tentés de communiquer via des liaisons radios trafiquées mais les réseaux de contacts infiltrés dans la population avaient eu raison de ces « Rebels ». James Maverick répertoriait les « Rebels » et la base de données s’allongeait de noms chaque jour. Toutes manifestations anti-gouvernementales étaient durement sanctionnées. James Maverick avait manifestement engendré la peur et la désolation dans une ville régie par un « détraqué » comme l’appelaient les San Franciscains . Enfin, James Maverick enfonça le clou en imposant par la force une idée bel et bien horrible qu’il mit en application sans l’accord du gouvernement en place. San Francisco basculait véritablement dans la déraison : Il décida de rechercher les « Rebels » disséminés dans la ville pour les « marquer » afin de les répertorier mais cela devait passer par une nouvelle recherche active de la part les membres des milices. L’annonce de cette décision fut un choc pour tout le monde. Cette fois-ci, James Maverick mit les moyens nécessaires à la hauteur de sa folie sécuritaire : chaque milice était chargée de mettre à sac les baraquements de chaque civil pour retrouver chaque « Rebel » et lui tirer une balle Cybertech dans l’épaule permettant aux équipes du laboratoire N17 Goffman de répertorier les « Rebels » afin de mieux les appréhender en cas de conflit. Il s’agissait ni plus ni moins de créer une liste noire d’une certaine catégorie de personnes pouvant s’opposer à la « dictature » conduite par James Maverick… oui enfin, le mot fut lâcher par un opposant lors d’une séance sénatoriale mais cela n’empêcha pas le Maire d’aller jusqu’au bout de son projet. Ainsi, le laboratoire N17 Goffman fut chargé de la concentration des noms d’hommes, de femmes et voir d’enfants potentiellement dangereux. Le laboratoire N17 Goffman était un organisme crée par des chercheurs scientifiques visionnaires à la demande de James Maverick lors de sa première année de mandat et le laboratoire, à l’époque, était sujet à controverse. La municipalité San Franciscaine avait donc récupéré le projet et avait tant bien que mal étouffé l’affaire. Les médias à l’époque s’étaient cassé les dents ; aucune info ne sortait du laboratoire sécurisé et sous protection municipale. L’armement technologique était un sujet de discussion d’avant-garde et l’on était aux prémices d’une nouvelle ère. Malgré tout, ce sujet fut clos et plus aucune information ne sortit jusqu’au jour où une arme gros calibre et technologique fut enfin crée à cette l’occasion, le « Maverick ». Son utilisation était simple : chaque civil récalcitrant au contrôle et donc dangereux selon les dires du Maire devait être plaqué contre une paroi solide et l’agent devait tirer une balle incrustée d’une puce à bout portant dans l’épaule, la balle était un concentré de technologie cybernétique permettant de classifier par genre les individus. Le plan s’articula autour de James Maverick, sous le commandement de Maddy Randall elle-même et de son équipe de chercheurs. Première étape : localisation et repérage des baraquements suspects. Ainsi, le plan prit des allures morbides : les maisons repérées étaient marquées d’une croix sur la porte d’entrée. Les souvenirs remontaient à la surface, tout cela devenait dingue … Les rumeurs allaient bon train et la peur d’entendre frapper à sa porte pour le contrôle flanquait une peur bleue à toute la population. La plupart des possesseurs d’armes jetèrent donc d’eux-mêmes la leur, afin de « rentrer dans le rang ». C’était le cas d’Herbert Hanson (Basil Duval), 53 ans, qui habitait le quartier de Brooklyn street depuis une trentaine d’années. Dans le coin, la vie continuait au ralenti depuis l’arrivée au pouvoir de James Maverick, et la milice du quartier avait bien fait les choses. La famille Hanson était assurée de voir passer les véhicules de sécurité devant leur résidence au moins 6 fois par jour. Ils assistaient régulièrement à des débordements entre civils du quartier, des ados principalement, et les agents. Présentation des papiers avant pointage et classification des jeunes gens. Herbert, comme la plupart des personnes à l’époque, avait acheté une arme de poing, afin de se protéger en cas de problème. Il avait son permis de port d’armes donc aucun problème et il n’avait jamais commis d’infraction puisqu’il ne s’en était jamais servi… enfin d’après ses souvenirs. Herbert était un homme transparent à toutes choses au premier abord, qui ne laissait rien paraître, il travaillait à la bibliothèque municipale mais en réalité il était un de ces hommes « cassés » par la vie, dégouté par ce qu’il avait vécu. Resté dans l’ombre et « rentrer dans le rang », pour cela il savait y faire. En effet, 15 ans auparavant, il en était autrement puisque qu’Herbert avait été un GI tireur d’élite surnommé Hank, appelé à l’époque en Irak lors de la 4ème guerre du golf et laissé pour mort lors d’un attentat à la bombe suicide (Human Bomb) perpétré par des extrémistes irakiens. Herbert faisait effectivement parti des victimes et était l’un des 5 survivants miraculeux du désastre. Et jamais le gouvernement ne fit aucun effort pour connaître l’identité des 5 rescapés et quand bien même ils furent identifiés, jamais il ne prit la peine de les rapatrier comme il se doit. Les années passèrent et jamais on ne sut comment les 5 hommes revinrent dans leur patrie d’origine mais une chose était sûre : ils renfermaient une rancœur sans limite. Herbert passait donc à travers les mailles du filet vis-à-vis des restrictions actuelles et cette transparence lui permettait de préparer ce qui lui trottait depuis un moment, dans la tête. Ses contacts avaient donné leurs accords, ne restait plus qu’à exécuter. Ce jour-là, il marcha jusqu’à son lieu de travail en restant discret, dans l’ombre comme d’habitude. Il s’installa à son bureau et eut comme à son habitude la visite de quelques adhérents à la recherche de livres, magazines ou brochures. 4 personnes vinrent notamment tour à tour à divers de la journée. Ces 4 personnes, Herbert les connaissaient ou plutôt Hank. Et tous les 4 vinrent le voir, un exemplaire du coran sous le bras, pour finaliser un plan… -City Hall of San Francisco – Mairie James Maverick brandit son poing et frappa violemment la table de réunion. Une cellule de crise avait été organisée d’urgence et les chefs de chaque milice étaient réunis autour de cette table pour évoquer et résoudre ce qui alimentait une rumeur persistante ces jours derniers. Un gang organisé tuait par balles des agents de police au même moment sur plusieurs quartiers de la ville et il n’y avait aucune trace de leurs passages. Des meurtres nets et sans bavures pour des tueurs visiblement expérimentés. Passablement énervé, le maire se leva de son siège et fit le tour de la table tout en s’indignant de cet échec. Il était inconcevable qu’il n’y aucune piste à l’heure actuelle, et, qui plus est, au nez et à la barbe du régime sécuritaire mit en place. Inconcevable … c’était tout à fait cela. Inconcevable de rater Monsieur le Maire à cette distance se dit au même moment Hank à travers sa lunette de tir, et à quelques centaines de mètres de là, en hauteur, situé sur le toit d’un immeuble… == Résultats == Pour sa première semaine d'exploitation, Human Gun réunit '''1 681 261 spectateurs''' soit la '''5ème place du box-office'''. Pour sa deuxième semaine d'exploitation, Human Gun réunit '''893 039 spectateurs''' soit la '''8ème place du box-office'''.
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