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1. Pride (l'Orgueil)
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Film sortie en salle le '''14 octobre 2039''' '''Genre''' : Drame '''Durée''' : 2h05 '''Réalisateur''' : Polly Ireland '''Musique''' : Joan Gabriel '''Acteurs, actrices''' : Benjamin Proto dans le rôle de Bill Hopkins, Sharon Elliott dans le rôle de Maria Hopkins == Promotion du films == Affiche : http://img11.hostingpics.net/pics/140002okpridejpg.jpg Bannière : http://img4.hostingpics.net/pics/608711BannirePride.jpg Budget publicitaire : 70 000 $ == Synopsis == Boost Films Production vous invite à suivre notre Collection Frisco (San Francisco) en 7 histoires représentées par chacun des péchés capitaux. Toutes ces histoires ont lieu à San Francisco. Enjoy ! Prologue : « You have a new message … » . Bill se redressa sur son siège à roulettes, se rapprocha de son bureau doucement …. A la lecture du mail, son visage se décomposa littéralement. Sans un mot il éteignit son PC dernier modèle, prit son stylo et écrivit quelques lignes. Il regarda la photo familiale encadrée et la plaqua contre son coeur. Enfin il se leva, ouvrit la fenêtre de son bureau et se jeta de la tour Bank Of America, du 25ème étage plus exactement et ce, dans l’indifférence totale. San Francisco, Financial District, Bill Hopkins est commercial au sein de la Bank Of America depuis maintenant 26 ans. Il l’a intégrée à 21 ans alors qu’il était fraichement débarqué de son école des hautes finances. Il eut la chance inestimable de faire partie de cette banque prestigieuse. Très rapidement, il fut considéré comme un véritable Yuppie San Franciscain. Bill avait un tempérament vif, du charisme et commençait sérieusement à être dans les petits papiers des dirigeants. C’était une personne à qui on pouvait faire confiance. Il obtint enfin la confiance des responsables en sortant comme un des leaders de sa promotion, cette fois c’était bon sa carrière était lancée. C’est à la même période qu’il sortait énormément et profitait de la vie avec ses collègues également issus du centre des Affaires de la Banque. Une sacrée bande de potes … alcool, fêtes. ] « Vivre au jour le jour » , voilà ce qu’était son gimmick à l époque. Les rouages de la machine Hopkins étaient bien huilés et il tenait le choc entre son job qui lui prenait de temps et ses sorties tardives … la jeunesse sans doute … mais qu’importe il avait également trouvé l’amour. Maria n’était pas vraiment son style mais ils avaient bien accrochés ensemble et surtout, elle était de son milieu … bancaire donc … et travaillait à proximité. Sa banque était celle concurrente de la sienne, la NationsBank, seul hic dans cette relation mais il réussirait bien à la faire changer de boîte. Bill était persuasif mais Maria l’était également mais il ne saurait jamais. Ils eurent 3 beaux enfants. Le plan était en marche … pour Maria. Toujours bien coté, Bill mena à bien certains gros dossiers qu’on lui confiait et le commercial qu’il était, réussissait. Il était impliqué dans son job et on lui demandait même son avis sur les orientations futures de la banque. Le summum de sa carrière fut la création au sein de son service de la « Bank Of Americard », un des tous premiers concepts de la carte bancaire aux Etats-Unis, un carton. La gestion du stress fut un autre problème pour Bill. Déléguer et faire confiance le rendait malade. C’était lui le meilleur et pour la première fois, on lui fit comprendre qu’un succès tel que le sien devait être géré par une équipe. Ses responsables et Maria l’avait dissuadé de travaillait seul. Bill devait prendre sur lui-même mais il finit par accepter. Maria, elle, était une mère de famille consciencieuse mais également très active. Elle avait vécu les mêmes situations que Bill et son plan de carrière était clair. Elle profitait de ces moments où Bill travailler dur pour retrouver son amant, Patrick Mayers qui n’était autre qu’un de ses amis, sortit de l’école des finances en même temps que Maria. Patrick était maintenant le numéro 1 du service commercial de la NationsBank. Bien entendu, Bille ignorait tout de cette liaison. Patrick Mayers était donc au courant des moindres agissements de la concurrence via Maria et il se devait de réagir. Entre temps, le requin de la finance qu’était Bill s’était diablement calmé et il se rongeait les sangs. Dorénavant, c’était le service commercial qui faisait la promotion de cette fameuse Bank Of Americard et cela le traumatisait. Et les dirigeants n’étaient pas dupes. Sa consternation fut lors du meeting organisé à la banque. Bill s’était décarcassé pour présenter fièrement son projet et au final quelle ne fut pas sa colère : c’était les dirigeants eux-mêmes qui s’étaient félicités de ce projet sans avoir un seul remerciement pour Bill, lui l’investigateur de ce projet ! Il avait vu les visages satisfaits de ses collègues, applaudissant à tout rompre les patrons. Dégoûté …. il était dégoûté par ce qui se passait, et il avait dans l’idée de persévérer tout de même et de faire valoir ses droits. Maria était présente et se délectait intérieurement de tout cela, elle le réconforterait bien entendu son pauvre mari … Mais les choses tournèrent d’une autre manière, le lendemain Bill ne fût pas convier à la réunion hebdomadaire du lundi. Réunion où étaient présentes les instances dirigeantes. Inadmissible ! Mais pourquoi est-ce qu’ils le rejetaient maintenant ? Tu marches sur leurs plats de bandes c’est tout … » affirma un de ses collègues. « Non, réunion de crise visiblement » ajouta un autre de ses collègues. Ainsi, il agirait autrement et il entreprit de parler à Maria dès sa fin de journée pour intégrer la NationsBank. Tant pis, d’autres profiteront de son talent et cette fois-ci il ne lâchera pas les rênes. Le matin même, il lut dans le San Francisco Chronicle l’imminence de la sortie la carte bancaire établie par la NationsBank. Il prit sa tête entre ses mains « C’est inconcevable … nous venons de lancer le projet, comment cela a-t-il pu se savoir ? Bon sang, Maria … ce n’est pas possible … » A ce moment précis, le son de réception d’un message électronique retentit. Epilogue : : « You have a new message … » . Bill se redressa sur son siège à roulettes, se rapprocha de son bureau doucement …. A la lecture du mail, son visage se décomposa littéralement. Sans un mot il éteignit son PC dernier modèle, prit son stylo et écrivit quelques lignes. Il regarda la photo familiale encadrée et la plaqua contre son coeur. Enfin il se leva, ouvrit la fenêtre de son bureau et se jeta de la tour Bank Of America, du 25ème étage plus exactement et ce, dans l’indifférence totale. De qui provenait ce message ? Qu’a bien pu écrire Bill avant sa mort ? == Impressions et Confidences == == Résultats ==
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