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Film sortie en salle le 5 août 2039 Genre : Thriller (Psychologique) Durée : 1h45 Interdit aux moins de 16 ans Réalisateur : Vanessa Holenk Compositeur Musique : Adrienne Frith Acteurs, actrices : Joel Bowie dans le rôle de John Morris Heather Charest dans le rôle de Madame Morris == Promotion du Film == [[http://img4.hostingpics.net/pics/843776sousserment.jpg]] [[http://img4.hostingpics.net/pics/223869bannieresousserment.jpg]] == Synopsis == [i]John Morris était un homme bon, la cinquantaine passée, avec une famille paisible, une femme (Katerine) et trois enfants (Tod, Emmy et Stuart). C’était un père de famille modèle, apprécié de tous et toutes. Son temps libre, il le partageait donc avec sa famille et l’association du coin pour l’aide aux personnes les plus démunies du quartier. Le quartier où ils vivaient (Marina District – San Francisco) était calme et agréable pour tous les bons citoyens du coin. Généreux et à l’écoute, John rendait service dès que possible, une qualité indéniable. Une vie plutôt sereine et sans stress. John rentra comme chaque jour du quartier de Nob Hill , lieu où il travaillait. Le vague à l’âme, il longea tranquillement l’avenue bordée de palmiers à bord de sa Lincoln, un petit salut de la main aux Turner pour leur souhaiter une excellente soirée. Il ralentit enfin aux abords de sa résidence, du coin de l’œil il aperçut les enfants jouer dans le jardin et rentra sa voiture dans le garage. Une soirée atroce pouvait de nouveau commencer mais il devait en aucun cas le laisser paraître.[/i] John ouvrit la porte amenant au séjour et découvrit sa femme radieuse ; elle se jeta littéralement dans ses bras [i]« Mon mari … enfin tu es là »[/i]. Ils s’embrassèrent tendrement. [i]« Je t’aime chérie »[/i].Elle sourit puis ils s’enlacèrent quelques instants avant l’arrivée des enfants. Il embrassa également ses enfants puis les accompagna dehors tandis que son épouse se mit à préparer le dîner, joyeuse. Direction la balançoire, John poussa le petit Stuart, 5 ans, qui rigola à s’en décrocher la machoire [i]« Plus fort, plus fort papa ! » [/i] [i]« Pas trop mon fils, tu vas toucher le ciel si je continue comme ça » [/i]et ils rigolèrent. De leurs côtés, Tod et Emmy pataugeaient dans le petit bassin et s’aspergeaient. La journée se finit sous un soleil couchant toujours radieux, il fût temps de dîner. Les enfants arrêtèrent de batifoler et se mirent à courir en direction de la maison pour se changer puis passer à table, John les rejoignit en marchant. Malgré lui, il eut un bref regard vers son jardin et l’arbre tout au fond qui y avait poussé. Un chêne splendide. A la vue de cet arbre au loin, son cœur s’emballa mais il se reprit et alla dîner avec sa famille. Une odeur de poulet l’attendait et John se mit à sourire lorsqu’il vit sa femme avec son fameux tablier « I’m the greatest cook in San Francisco qui au passage avait été barré puis ré-écrit juste en dessous in the world ». Une écriture d’enfant, celle de Tod. Toute la famille se mit à table, Tod dit le bénédicité et nous nous mîmes à manger. Aussitôt fini, Katerine et John embrassèrent Tod et Emmy pour qui montèrent se laver et enfin se coucher. John débarrassa le dîner avec sa femme puis ils se dirigèrent dans le salon. Katerine de son côté, s’installa dans un des fauteuils et regarda la télévision tandis que John entreprit de lire les nouvelles fraiches du San Francisco Chronicle … par défaut. Dès la fin du dîner et ce depuis un certain nombre d’année, il ne pensait qu’à une chose : sortir et se retrouver près du chêne. C’est ce qu’il fît après avoir patienter une vingtaine de minutes. Il se leva, déposa un baiser sur le front de Katerine et enfin ouvrit la baie pour partir. L’air s’était indéniablement rafraichit et les nuages commencèrent à affluer dans le ciel maintenant de couleur cramoisi. Le soleil n’était plus des leurs. Les pas de John résonnèrent dans l’air ambiant, il était seul et se dirigeait vers l’arbre. Le regard fixé vers le sol et ses pas, il releva son visage et fixa l’endroit où il se devait d’aller. Sur son visage, les larmes coulèrent. Il pleurait. C’est arrivé près du chêne que John tendit son bras et posa la main sur le tronc, c’était maintenant un arbre fort, haut et qui avait bien vécu. Combien de fois avait-il effectué ce rituel ? Des centaines, des milliers de fois peut-être. Les larmes perlaient toujours et un long soupir se fit entendre, John se mit à genoux et baissa son visage vers le sol. Etait venu le moment d’expier ses pensées et les souvenirs intacts affluèrent à ce moment précis. Il se souvenait maintenant, et de tout. Ce petit garçon ce matin, qu’il voyait martyrisé et battu quasiment à mort et sa mère qui gisait à terre, hurlant qu’il allait tuer son enfant. Les mains de John se crispèrent. Ce chien également qu’il avait écrasé sans pitié avec sa voiture, il avait senti le soulagement de l’acte en roulant et broyant le corps sous ses roues. Ce collègue qu’il avait insulté car il avait rendu ce dossier, ce putain de dossier en retard et qu’il allait subir LUI les conséquences de ses conneries. Au pied du chêne, John était toujours à genoux. Les larmes coulèrent et le sang également de ses poings crispés. [i]. « Je n’en peux plus … »[/i] Enfin cette fille … il se souvenait… ce souvenir impitoyable qui jaillissait dans son esprit c’était limpide …. cette fille Joyce qui avait osé le narguer. Cette stripteaseuse, il l’avait suivi jusque chez elle. Elle s’était débattue, tant pis pour elle il l’avait assommée et violée sans un seul scrupule, fuir cette vie de merde. Son acte fini, il s’était rendu compte qu’il était allé trop loin et sa crise de panique prit le dessus … il prit l’oreiller … sur son visage … il appuya fort … très fort. Puis plus rien. Il vomit, John vomit à ses pensées impures, si violentes mais si réelles. Le souffle haletant, il hoqueta encore puis se concentra afin de reprendre ses esprits. Il réussit à se relever péniblement, s’aidant du tronc avec ses mains. Ce soir, c’était ce soir qu’il devait le faire … [i]« C’en est trop, je n’en peux plus supporter cela … »[/i], il savait que le chêne de l’autre côté du tronc avait une branche cassée qu’il avait taillé il y a de cela quelques jours. Elle était à hauteur du cœur … Il se redressa puis commença à marcher. [i]« Papa ? »[/i] Un frisson effroyable s’empara de John et parcourra tout son corps tel une décharge électrique. Il passa sa main sur son visage et essuya les larmes, il se retourna. C’était Stuart. [i]« Qu’est ce qu’il y a mon bonhomme ? »[/i] [i]«Tu pleures papa ? » « Oui, mais ce n’est rien de grave ». [/i] John vit le visage perplexe de son enfant, ils se regardèrent dans les yeux quelques secondes sans rien dire. [i]« Je n’arrive pas à dormir tu ne m’as pas embrassé pour me souhaiter bonne nuit » [/i] L’innocence d’un enfant, le retour à la réalité. John s’en alla en direction de son enfant, de sa famille, de la vie et laissant derrière lui cet arbre, ces images et ces situations qu’il a vécut. Le malheur, la violence et la mort. Il voyait Stuart sourire au fur et à mesure qu’il se rapprochait. Il allongea le pas et tout en marchant il sortit de sa chemise noire, la croix qu’il portait autour du cou depuis des années maintenant. Il ferma les yeux et l’embrassa. « Que dieu me protège ainsi que ma famille ». [b]Pasteur John Morris.[/b] Ces situations étaient-elles vraiment réelles ? Etait-ce des confessions ? Toujours est-il que John était en proie au doute et qu’il était au bout du rouleau. Réussira-t-il à remonter la pente ? et de quelle manière ? == Impressions et Confidences ==
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