La Maison Van Pelt

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* Le film remporte aux [[GM Awards 2026]] le prix de la meilleure comédie devant [[Straightfall]] la comédie de [[Gérard Cousin Prod]]
* Le film remporte aux [[GM Awards 2026]] le prix de la meilleure comédie devant [[Straightfall]] la comédie de [[Gérard Cousin Prod]]
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== Résumé ==
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Roberta Van Pelt avait eu une vie plus que droite. 
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Fervente catholique, elle n’avait jamais raté aucun office du dimanche. Elle avait été baptisée, communié, confirmée et avait fait en sorte que ses huit enfants en fassent de même. 
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Fille modèle, Épouse et maîtresse de maison exemplaire, puis mère respectable, elle avait eu une vie bien remplie, loin des sentiers battus et avait fait tourner le monde autour d’elle avec la même rigueur et la même foi. 
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Roberta Van Pelt était en outre une femme de cœur, désireuse de contribuer au mieux au bien être de sa communauté. C’est ainsi qu’elle était la marraine de plusieurs associations caritatives, et accueillait chez elle les enfants démunis de la ville qui goûtaient auprès d’elle aux joies d’une éducation sans faille leur permettant ainsi de se faire un chemin dans la vie. 
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Lorsque Roberta Van Pelt mourut un matin d’Automne, la communauté de Monterey pleura une femme partie trop tôt. Tous avaient en mémoire l’image de cette rousse, surnommée la Dame Verte en raison de son amour pour cette couleur, et surtout Sa robe de flanelle verte, celle qu’elle portait le plus souvent, sa préférée. Cette robe à la coupe d’un autre siècle au col strict ourlé de dentelle blanche et dont du vivant de Roberta, pas un pli n’était venu altérer la perfection. 
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Roberta Van Pelt fut inhumée plusieurs jours plus tard. Sa nécrologie dressa le portrait d’une femme dure mais de principe qui pouvait avoir du cœur. Aucune tâche, aucun scandale n’avait étayé sa parfaite vie. 
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Nul ne sut jamais si Roberta donna naissance à de parfaits enfants, mais ce qui est sur c’est qu’aucun de ces derniers ne resta dans la petite ville de Monterey. 
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La charmante maison de Roberta Van Pelt resta alors abandonnée à l’usure du temps jusqu’à ce que le maire de Monterey décide d’en faire une maison d’accueil pour les enfants démunis et orphelins. 
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Sur la petite pelouse une plaque fut donc plantée. La Maison des enfants Roberta Van Pelt venait de voir le jour. 
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Carla Meyer (Demetra Legrand) descendait du Bus à la gare centrale de Monterey. C’était une jeune femme entre deux âges. Plus suffisamment jeune pour être une jeune fille, pas assez vieille pour être une dame. Sa grosse valise devant elle, elle consultait la feuille de papier qui donnait les indications de sa destination finale. 
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Elle fut surprise que le bus s’arrêta un pâté de maison plus loin que l’établissement ou elle escomptait prendre ses fonctions : La Maison Van Pelt. 
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La valise posée sur le sol pavé, Carla eut à peine le temps de penser que c’était bien là une charmante maison, qu’une balle de tennis traversa le carreau de l’une des fenêtres du Séjour pour venir rebondir doucement à ses pieds. Elle eut un pas de recul alors que la porte s’ouvrait à grand fracas et que deux enfants en sortent en courant rapidement en riant. Lorsqu’ils l’aperçurent, ils échangèrent quelques mots en ricanant avant de s’approcher. Sans qu’elle puisse comprendre les deux enfants tournaient autour d’elle en faisant des youyous. Carla fut poussée tandis que l’un des jeunes garçons lui enroulait une ficelle autour des chevilles. 
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Carla se trouva dans un équilibre précaire et inévitablement chuta en arrière retombant sur son derrière alors que les deux chenapans éclataient de rire. 
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A cet instant une dame d’un certain âge rouge de colère les poings levés hurlant, les cheveux mouillés et décoiffés, sortit de la maison. Carla fut aidée par la vieille dame et put se relever massant son coccyx endolori. Les joues rouges elle se remettait de sa chute. 
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''- Ma pauvre demoiselle, vous venez de faire connaissance des Enfants de la maison Van Pelt. Vous devez être miss Meyer ? Je m’en doutais suivez moi. 
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Carla resta la main tendue dans le vide un peu pantoise, puis alors que la vieille dame regagnait la maison, elle attrapa rapidement sa valise et la suivit. Si de l’extérieur la maison était d’apparence respectable, l’intérieur était un véritable désastre. 
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Dans le boudoir ou elles avaient trouvé la paix, Carla prit connaissance de ses nouvelles responsabilités. Elle apprit également que personne n’avait voulu du poste. La Maison Van Pelt avait depuis quelques temps une triste réputation et les quelques enfants qu’elle comportait encore étaient considérés comme des rebuts pour lesquels la ville ne souhaitait plus s’investir. 
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Carla en fut révoltée et s’indigna du ton sarcastique de Madame Jablonski qui lui dressa un portrait des enfants, plus particulièrement des plus difficiles d’entre eux, ceux dont même l’école municipale ne voulait plus et dont il fallait assurer l’éducation avec les moyens du bord. 
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Il n’y avait pas de femme de ménage, pas de cuisinière, et plus que tout, il n’y avait chez les enfants de la maison Van Pelt aucun sens de la discipline et si la vieille dame avait un ton plus qu’ironique, l’on pouvait ressentir la blessure de l’échec dans son ton. 
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Ce fut à l’heure du dîner que Carla put faire connaissance des enfants. Elle prêta particulièrement attention aux deux chenapans qui l’avaient assaillie le matin, Chester ( Jackson Horrowitz) et Thomas ( Herbert Lester) connus pour être inséparables, et à la plus âgée des pupilles Van Pelt, Amber ( Heather Barker), une adolescente gothico Punk contre laquelle Madame Jablonski l’avait mise en garde. 
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Autour de la table ce furent une dizaine de paires d’yeux qui scrutaient Carla. Elle tentait de mettre un nom sur chaque visage tandis que Bernie l’homme à tout faire la dévisageait d’un sourire niaiseux. Les enfants dinaient dans un calme relatif. Elle avait même eu droit à un sourire d’Amber, ce qui lui mit la puce à l’oreille. Quand cette dernière fit rouler un petit pois de son assiette le poussant du bout des doigts en direction de Carla à l’autre bout de la table, elle comprit fatalement qu’elle n’échapperait pas à un bizutage en règle. Chester et Thomas le duo de la matinée passèrent à l’attaque suivis par les autres enfants, sous les hurlements de Bernie et de Madame Jablonski. 
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De l’extérieur, la maison Van Pelt apparaissait pourtant comme une charmante maison. Ses volets verts et ses rideaux de dentelle cachaient au monde les dégâts causés par des enfants déchaînés. 
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Ce jour la, la maison Van Pelt recevait la visite du Maire. Toute visite extérieure était pour le personnel de la maison Van Pelt un désastre, car nul ne pouvait prédire alors comment se comporteraient les enfants. 
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La maison était propre, et Carla Meyer montait à sa chambre au second étage pour se changer juste avant l’arrivée du maire. Elle eut la surprise de trouver sa porte ouverte, sa valise fouillée. Son cœur se serra. Qu’avaient bien pu lui prendre ou trouver les enfants ? 
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Les vêtements avaient été retournés et elle se mit a suivre le chemin qu’ils formaient jusque dans le couloir, tachés d’encre. Elle les vit alors traverser le couloir en riant tandis qu’elle se surprit a leur crier dessus, en vain. 
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Alors qu’elle se levait ses vêtements en main, elle se laissa surprendre par l’apparition soudaine d’Amber, qui fumait de manière désinvolte en la scrutant de ses yeux charbonneux. 
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''- Bah alors Carla… faut pas laisser trainer vos affaires 
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Le sourire narquois qu’elle affichait donna à la jeune femme l’envie de lui asséner une gifle. Cette pensée fut vite balayée par les cris de Madame Jablonski qui lui annonçait l’arrivée du maire. Paniquée, elle n’avait plus rien à se mettre. Elle regarda Amber avec dégout prête à lui demander un vêtement sans grand espoir. Comme si l’adolescente avait pu lire dans son esprit elle répondit du tac au tac lui indiquant le grenier ou se trouvaient sans doute des vieilles affaires. 
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Avec un soupir, Carla se rendit au Grenier. Il y avait de vieux meubles, des cartons et une vieille armoire. Carla perçut comme des ricanements, mais elle n’avait pas le temps de s’occuper des enfants, Madame Jablonski avait besoin d’elle. 
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Elle ouvrit l’armoire et se mit a fouiller dans les vêtements qui dataient d’une éternité. Sans qu’elle ait a beaucoup fouiller, elle se laissa immédiatement attirer par la vue d’une robe verte, remarquablement bien conservée, au col ourlé d’une dentelle restée blanche malgré les années. Carla n’aimait pas le vert, mais cette robe lui donna immédiatement envie de la porter. Elle se sentit soudainement tres joyeuse et enfila la robe. Un vieux miroir en pied lui renvoyé une image plus que satisfaisante. Elle s’apprêtait a sortir quand elle se rendit compte que la porte était bloquée. Derrière les rires et la voix d’Amber qui donnait des ordres au plus petit. Dans sa tentative d’ouvrir la porte Carla bascula et tomba en arrière, sa tête butant contre un meuble. 
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Combien de temps était elle restée inconsciente ? Elle ne le savait. Elle se réveilla en vis-à-vis avec quatre paires d’yeux qui l’examinaient. Thomas aidé d’un petit bout de bois la tâtait en demandant à Amber si c’était à ça que ressemblait un cadavre. 
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Carla ne fit plus attention aux enfants, elle se releva péniblement, et se mira une nouvelle fois. Cette fois ci elle accueillit d’une moue dépitée son reflet. Elle se dirigea vers l’armoire en ouvrit un placard dont elle tira une trousse. 
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Les enfants restèrent pantois face au spectacle. La jeune femme venait de se couper les cheveux, de les brosser , puis s’était posée une touche de rouge sur les lèvres. 
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Son regard s’était fait plus dur alors qu’il passait un a un sur les enfants. 
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Chester le plus jeune lui demanda si elle allait bien, elle ne répondit pas. 
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Elle lissa les plis de la robe, et sortit du grenier en direction du salon. 
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Au même moment Arnold Henry Bollander, le maire de la ville annonçait à Madame Jablonski que suite aux couts que représentait l’établissement la ville lui donnait un ultimatum pour redresser les enfants, faute de quoi, la maison serait rasée et remplacée par un centre commercial. 
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''- Cela est hors de question ! 
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Les yeux se rivèrent sur Carla. Sa voix était plus aigue qu’à l’accoutumée, son regard plus hautain et froid. D’une démarche gracieuse elle s’approcha. 
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''- La maison Van Pelt ne peut être détruite. Je m’y oppose formellement. 
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Le maire regarda tour a tour Carla et madame Jablonski avant de demander a qui il avait l’honneur. 
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''- Je suis Roberta Van Pelt, cette maison m’appartient, et j’entends à ce que les enfants fassent honneur à leur nom et leur maison. 
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Madame Jablonski regarda Carla comme si la pauvre enfant avait perdu l’esprit. 
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Le maire éclata d’un rire franc. 
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Dans l’ombre de la porte, Amber et les enfants échangèrent des regards inquiets. Carla était elle devenue folle ? Si oui était ce leur faute ? 
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Carla, fit quelque pas dans la pièce faisant voleter le jupon de la robe verte, la robe verte au col ourlé de dentelle, la préférée de Roberta Van Pelt et tira un des livres de la bibliothèque contenant un livret. 
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''- Avec ceci, nous devrions avoir les moyens de redonner à cette maison son faste et à ces pauvres enfants une éducation décente.Faites moi confiance... 
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Entre ses mains, un livret d’Epargne au nom de Roberta Van Pelt. Au bas du tableau un montant à 6 chiffres. 
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''- Suzanne ? Si vous voulez bien raccompagner Monsieur, nous avons du travail. 
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En un signe de croix Madame Jablonski s’exécuta. 
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Menés par le petit Chester, les enfants étaient retournés au grenier. Le petit garçon montrait à ses comparses un portrait. 
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Sur le portrait, une jeune femme rousse, ressemblant vaguement à Carla, la même coiffure, les mêmes lèvres peintes de rouge et arborant la même robe verte offrait un regard sévère et droit... 
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De l’extérieur, la maison Van Pelt semblait tout aussi tranquille. 
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A l’intérieur, une révolution était en marche. Roberta Van Pelt, la dame Verte de Monterey, avait vécu un autre âge et avait des méthodes qui pourrait laisser prévoir bien des changements. 
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A la Mairie, le Maire Bollander venait de raccrocher son téléphone. Noah Van Pelt le jeune héritier de l’illustre famille originaire de Monterey arriverait bientôt. Il fallait à tout pris mettre fin a l’imposture de la maison Van Pelt, mettre la main sur l'héritage qui avait échappé aux enfants de Roberta , et surtout, il ne pouvait se permettre de perdre l’énorme commission que lui avait promis le dernier des Van Pelt pour la construction d’un centre commercial dans la ville. 
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A la Gare de Monterey, un individu portant un manteau noir posait des questions aux riverains. Il leur montrait un article de journal, sur lequel se trouvait en une, la photo d'une jeune femme, une jeune femme aux cheveux chatains clairs, Carla Meyer... 
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''C'est une comédie Fantastique que Mandown choisit de présenter pour le concourt Vert. 
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Ici le vert est porté par la personnalité extravagante de la Dame Verte de Monterey, admirablement incarnée par une Demetra Legrand qui passe sans difficulté du personnage de Carla Meyer, un peu maladroit et mal dans ses souliers et portant un lourd secret, a une dame de fer et a l'autorité sans bornes. 
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Sans prise de sérieux David Ponthieux donne a ce film un cachet, une facture bon enfant qui ne promets pas d'éblouir mais de divertir.''
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== Critiques ==
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* (4) "David Ponthieux donne a ce film un cachet, une facture bon enfant qui ne promets pas d'éblouir mais de divertir. " … et qui y réussit parfaitement. (MMP )
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* (4) A la base, cette rousse habillée de vert et très à cheval sur les principes m'a énormément fait penser à Bree Van De Camp des "Desperate Housewives", mais le film n'a évidemment rien à voir avec la série. Si mes souvenirs sont bons, on a rarement eut le droit à des comédies de la part de ManDown Productions, et j'aime assez l'atmosphère bien particulière de ce film. L'affiche nous promet un film coloré à l'ambiance "à la Amélie Poulain". J'aime beaucoup aussi. (Morcar Prod )
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* (5)  C'est frais, c'est léger, c'est bien écrit et c'est efficace! J'ai vraiment beaucoup aimé! C'est le film qui m'a le plus "séduit" pour ce concours! Non, vraiment j'ai beaucoup aimé! Le casting est cohérent, l'affiche simple mais très jolie et efficace! Encore un très joli film de la part de Mandown! C'est mon coup de coeur! (Gérard Cousin Prod )
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* (5) L'ambiance et le personnage m'ont fait penser à Desperate Housewives. Surtout à Bree, même le nom et le physique d'ailleurs. Je pense que cette série t'a beaucoup influencée, non ? C'est original, ça change de la nature qui est beaucoup présenté au concours. L'affiche est réussie, bien dans le ton de Mandown :) (Misterdada Studio )
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* (4) Un chiffre à six lettres ? Et tout cet italique...! Bref. C'est une comédie qui ne m'a pas tellement fait sourire, donc l'effet est raté. Mais c'est bien écrit, le style est maitrisé. L'affiche est très réussie également pour rester dans le style ! :)
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* (4) Quoiqu'imparfait, un film distrayant au script déjà vu mais réussi dans son développement. Original donc sur sa fin, bien écrit et une belle affiche qui font du film une réussite formelle a défaut d'être mon coup de coeur du concours. (Guards Brothers )
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* (5) Mon deuxième coup de coeur avec le film de Niko ! Très bonne comédie assez originale et qui diverti vraiment bien, une très belle surprise ! =) L'affiche est vraimant bien faite. (Pitbull Production GM )
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* (4)  Ingénieux et bien écrit, on se prend d'amitié pour cette Carla Meyer devenue la dame verte et du plaisir à suivre ce film. J'imagine des décors léchés et colorés et des personnages truculents et une intrigue des plus sympathiques, un film dans le haut du panier de ce concours. (Baker Films Production )
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* (5) Un petit coup de coeur pour ce film qui m'a beaucoup divertit. Belle affiche. Merci ! ;) Quelle compétition wahou :O (Spirit Productions)
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== Liens externes ==
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Version actuelle en date du 1 octobre 2014 à 09:19