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7. Wrath (La Colère)
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Film sorti en salle le '''15 décembre 2040''' '''Genre''' : Thriller '''Durée''' : 120 min '''Réalisateur''' : Polly Ireland '''Acteurs, actrices''' : Ivan Elias [[Tia Starcks]] [[Quentin Ellman]] [[Joy Anderson]] Guest-stars : Rene Henriksen [[Judy Ireland]] == Promotion du film == Affiche : http://img11.hostingpics.net/pics/2633109471.jpg Bannière : == Synopsis == Scott Hopkins (Quentin Ellman), enfin seul dans le bureau de son défunt père Bill Hopkins, saisit les codes pour accéder au message comme indiqué dans le sms qu’il avait reçu quelques heures auparavant dans l’ambulance conduisant sa mère à l’hôpital. Tout en saisissant, il fit abstraction du bruit dans le couloir lui rappelant de se dépêcher, faire rapidement, très rapidement. Il valida son accès et reconnut l’objet de ce fameux message, et tremblant, il cliqua. Ainsi, 6 mois et 3 semaines après le suicide de son père, le visage de Scott se liquéfia à la lecture du message. Les traits se durcirent et les larmes coulèrent, c’était maintenant limpide à ses yeux et Scott fit ce que le sms lui avait demandé de faire, et c’est ce détail qui l’avait fait douter du sérieux de celui-ci mais pourtant ... Scott se leva du siège et tâta dessous le bureau, près des tiroirs : un fusil à canon scié était grossièrement scotché. - Quelques heures auparavant… - Maria White-Hopkins ( Tia Starcks ) devait rester alitée quelques semaines après sa tentative de suicide et Jason O’Sullivan ( Ivan Elias ) était à son chevet. Scott présent également, prétexta une urgence pour sortir de la chambre et put enfin lire le sms reçu d’outre tombe envoyé par son défunt père. Scott était terrifié mais également curieux de relire le dernier message de Bill vivant. Ce message le calmait après avoir entendu ce qu’avait dit Patrick Mayers ( Rene Henriksen ) à sa mère. C’était insoutenable et il se vengerait de quelques manières que ce soit et il ne dit donc mot à Jason à son arrivée chez eux. A la lecture, il se dit de nouveau que c’était une blague, que ce n’était pas possible autrement mais pourtant Scott se posait des questions et la curiosité prit le dessus. Il devait savoir. Après avoir mûrement réfléchi, il trouverait un prétexte pour aller à ce rendez-vous dans une heure, quitte à mentir. C’est ce qu’il fit après s’être assuré que sa mère allait se tirer d’affaires. Jason lui posa quelques questions qu’il esquiva puis le laissa dans la chambre avec sa mère. Maria dormait, toujours sous le coup de la fatigue. Patrick Mayers arriva à bon port, tranquille, en apparence. Il descendit de l’avion avec ses bagages et héla un taxi, direction La Bank of America. Son épouse, Sue Mayers ( Joy Anderson ) l’avait de nouveau appelé pendant le vol retour et Patrick lui avait posé des questions. La découverte du corps de Glen Gallaghan avait été relayée aux médias et retransmise aux journaux télé, Patrick avait cru mourir sur place lorsqu’il avait appris la nouvelle dans l’avion. Son sang n’avait fait qu’un tour et Sue Mayers le calma immédiatement, lui intimant de se taire car aucune preuve tangible ne pouvait être trouvé. De l’autre côté du fil, elle bouillonnait et Rhonda ( Judy Ireland ) assise à ses côtés, tentait de la calmer. Elles étaient dans un parc et avaient fait le nécessaire, prendre un maximum d’affaires et partir en attendant que les affaires se calment. Il ne fallait absolument pas attirer l’attention. Et le seul moyen de régler tout cela serait de faire porter le chapeau à Jason O’Sullivan. Cet enfoiré allait payer pour tout, elle ne sut comment mais une chose était sûre : ils devaient fouiller son bureau et y déposer au passage des preuves flagrantes du meurtre : tesson de bouteilles, dossier de presse tâché de sang … Tout cela, Patrick pensait que c’était cousu de fil blanc mais il fallait s’y mettre au plus vite, il improviserait … comme il avait toujours fait. Scott arriva tant bien que mal près de la grande tour de la Banque of America, son cœur battait de nouveau à tout rompre. Il n’était pas revenu sur les lieux du drame depuis que son père s’était jeté de sa fenêtre de bureau, Scott stressait et il voulait en finir au plus vite avec cette histoire, tous ces drames dans sa famille. Il pressentait qu’il saurait, lui, quoi faire et enfin vivre heureux, oublier ce qui le détruisait à petit feu depuis le début. D’entre les morts, son père n’en avait pas fini avec lui et Scott sentait qu’il était celui par qui tout finirait, en bien il l’espérait fortement. Il prit son courage à deux mains et, devant l’entrée de la banque s’inséra parmi les clients présents en cette fin de journée. Dans la chambre de Maria White-Hopkins, au nom de son ami feu-Bill Hopkins, Jason resta pour veiller et entendre de vive-voix ce que Patrick Mayers avait dit à Maria. Il fulminait car personne n’avait trouvé la moindre trace de Sue Mayers et il avait donc expressément demandé d’annoncer purement et simplement aux médias l’annonce du décès de Glen. Les policiers firent le lien vers les médias qui transmettaient depuis quelques heures l’information, il le voyait depuis le poste de tv dans la chambre. En pleine conversation téléphonique, il jeta un bref coup d’œil et vit, surpris, Maria, les yeux grand ouverts, fixant l’écran. Il coupa net son téléphone et s’approcha vivement de Maria qui tentait difficilement de s’exprimer … elle lui susurra le message qu’avait reçu Scott et qu’elle avait réussi à lire plus ou moins distinctement avant de déclarer forfait à cause de la douleur. Sur ces mots, Jason bondit et courut dans les couloirs de l’hôpital pour sortir, son téléphone portable vibra dans le même temps mais il ne décrocha pas. Une patrouille de police lui laissa un message lui signalant la présence de Sue Mayers près de la banque of America. Patrick était arrivé avant son épouse et il l’écarta violemment de l’entrée principale par laquelle elle s’apprêtait à rentrer. Instinctivement, elle brandit sa main pour le claquer mais fut arrêter durement pour la poigne magistrale de son mari. Patrick se surprit lui-même de ce qu’il venait de faire mais Sue devenait incontrôlable et n’avait visiblement pas fait attention aux agents de sécurité. Quand il était question de faire dans la discrétion c’était lui le maître à bord et il se vit faire taire le claquet de sa propre épouse, médusée. Il savait manipuler les personnes et il joua rapidement de son savoir-faire pour entrer dans le bâtiment. Il avait comme un pressentiment et il trouvait le personnel de sécurité sur les dents. Tout en entrant dans la banque, il n’entendit pas une voiture de police qui s’arrêtait non loin de là et laissait sortir en trombe Jason O’Sullivan. Il prit une voix de traverse pour accéder au bureau de Bill Hopkins. Scott, dans l’ascenseur vide, souffla un peu et se dit qu’il y était presque. Situé au 25ème étage, l’ascension était longue et il craignait de croiser un salarié ou n’importe qui pour lui poser des questions. 23, 24 puis enfin l’ascenseur se stabilisa et les portes s’ouvrirent devant 3 jeunes banquiers, visiblement surpris de voir un si jeune garçon ici, seul qui plus est. Scott, piqué au vif, rougit immédiatement et marcha droit devant lui en regardant ses baskets. Les stagiaires se regardèrent et se mirent à rire frénétiquement tout en rentrant dans l’ascenseur – « ils les embauchent de plus en plus jeunes ici ! la nouvelle promo sort du berceau et … » les portes coulissèrent et Scott n’entendit plus les sarcasmes de ces abrutis de yuppies branchés. Il redressa la tête et reconnut au loin le bureau de son père, son petit bureau, mis à l’écart. Il voyait bien maintenant le malaise de la situation à l’époque. Il s’approcha. Dans l’ascenseur, Sue et Patrick s’étaient enfin mis d’accord sur le plan et répétèrent celui-ci sans oublier les moindres détails. Patrick prit les rênes du couple et ressentit un énorme plaisir à lister les éventuels détails qui pourraient jouer en leur défaveur… la bouteille explosée sur le parking, le sang du journaliste sur celle-ci … Sue écoutait maintenant son mari sans broncher. Il fallait absolument mettre le doute dans cette affaire et révéler la possible vengeance de Jason sur son compatriote Glen. Tout était possible et dès les preuves déposées dans le bureau, Sue et Patrick partiraient et loin, très loin … refaire leur vie ailleurs. Il était grand temps de disparaître et de se tenir à carreaux. L’ascenseur s’ouvrit et le couple avança précautionneusement dans les couloirs sans éveiller les soupçons. A cette heure-ci la plupart du personnel était d’ores et déjà dehors, chez eux. Au bout du couloir, arrivé au terme de leurs efforts, Patrick devint livide et plaqua son épouse contre le mur. Interloquée, elle lui demanda ce qui se passait. Scott Hopkins était déjà dans le bureau de Jason O’Sullivan et avait des clés dans ses mains, il était sur le point de sortir de celui-ci. Contre toute attente, Patrick Mayers n’eut pas le temps de rattraper Sue qui passa devant lui telle une furie en direction de Scott, qui avait le teint blafard et le jean mouillé maintenant qu’il voyait le couple Mayers présent tel un cauchemar devant lui. Sans réfléchir, il courut en direction du bureau de Bill. Sue l’agrippa par le cou tout en criant qu’elle l’étriperait sur le champ. « Non ne le touche pas ! » cria Patrick derrière qui vit trop tard l’intervention de Jason qui ouvrit violemment la porte à proximité des bureaux s’ouvrir et poussa de toutes ses forces Sue Mayers. Elle lacha l’ado qui s’orienta de nouveau vers le bureau pour l’ouvrir. Patrick réceptionna Sue dans ses bras et la laissa à terre pour se précipiter vers Jason. Sous le coup de la colère et de la surprise, il prit au passage le tesson de bouteille pour lui faire la peau et balança de grands gestes circulaires faisant reculer Jason. Affolé, Scott se dépêcha d’ouvrir le bureau et y entra. Scott, enfin seul dans le bureau de son défunt père Bill Hopkins, saisit les codes pour accéder au message comme indiqué dans le sms qu’il avait reçu quelques heures auparavant dans l’ambulance conduisant sa mère à l’hôpital. Tout en saisissant, il fit abstraction du bruit dans le couloir lui rappelant de se dépêcher, faire rapidement, très rapidement. Il valida son accès et reconnu l’objet de ce fameux message, et tremblant, il cliqua. « Cher collègue, Vous ne me connaissez pas encore mais cela ne saurait tarder. Je sais que tu es l’initateur du projet de carte bancaire « Bank of Americard » et que tu es rongé par ce projet ambitieux quoiqu’un peu trop ambitieux pour un seul homme d’après les dires. Tu auras remarqué que je te tutoie car figure-toi que nous sommes beaucoup plus proche que tu ne le penses … » Tout en lisant le mail, Scott détourna son regard 2 secondes vers une photo encadrée dans le coin du bureau … une photo familiale encadrée mais également déchirée révélant ses 2 jeunes frères avec Bill, du côté droit, tout le reste de la photo avait été déchirée. Scott fronça les sourcils et continua de lire : « … Ah oui je ne me suis pas présenté. Je me nomme Patrick Mayers de la NationsBank. Oui un collègue qui en sait long sur toi car nous sommes du même bord toi et moi. J’ai une famille comme toi, une femme comme toi, qui m’a trompé et qui te trompe actuellement. Maria est mon amante depuis un certain nombre d’années maintenant et je sais absolument tout sur toi. Donc ne t’étonne pas si d’ici peu, la NationsBank projette de sortir un même projet. Maria a été efficace jusqu’au bout et j’ai toujours su qu’elle réussirait à être une femme et une amante parfaite. Mais le pire vois-tu Bill est que non seulement tu viens de t’apercevoir que tu ne pourras plus te rendre utile professionnellement parlant car à l’heure qu’il est la NationsBank te dépasse en tous points mais en plus tu ne peux même plus t’accrocher aux membres de ta famille puisque tu as été trahi par ta propre famille. J’ai une fille dénommée Stacy Mayers. Mais aussi un fils, chose que Maria a toujours voulu te cacher, prénommé Scott … » . S’en était trop … Ainsi, 6 mois et 3 semaines après le suicide de son père, le visage de Scott se liquéfia à la lecture du message. Les traits se durcirent et les larmes coulèrent, c’était maintenant limpide à ses yeux et Scott fit ce que le sms lui avait demandé de faire, et c’est ce détail qui l’avait fait douter du sérieux de celui-ci mais pourtant ... Scott se leva du siège et tâta dessous le bureau, près des tiroirs : un fusil était grossièrement scotché. Scott était livré à lui-même. == Résultats ==
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