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Film sorti en salle le '''3 novmebre 2040'''

'''Genre''' :  Action 

'''Durée''' : 90 min

'''Réalisateur''' : Daniele Black CREA 

'''Acteurs, actrices''' :

[[Will Wenders]]

Viginia Horn

Jack Jones

Gina Frankel


== Promotion du film ==

Affiche : http://img11.hostingpics.net/pics/235882coffeeshop.jpg

Bannière : http://img11.hostingpics.net/pics/743207banncoffeeshop.jpg

== Synopsis ==

Ben (Will Wenders) , comme à son habitude, but lentement une première gorgée du liquide brun et chaud avant de boire savoureusement sa tasse de café si précieux. Dans la boutique régnait une ambiance feutrée et détendue, les clients profitaient du bon temps et il aimait cela. Tout en savourant son café Arabica provenant du Brésil, il leva les yeux et vit, trop tard, son cauchemar arriver.  

Au dehors, une demi-douzaine d’hommes cagoulés et armés enclenchèrent leur uzi, un massacre … les balles fusèrent et éparpillèrent les clients touchés de plein fouet par l’impact des balles et des vitres explosées.  

Ben eut le temps de sa baisser derrière son comptoir mais reçut deux balles dans l’épaule gauche, il souffrait le martyr … Il se dit qu’il était allé trop loin.  

 

Cela faisait un peu plus d’une quinzaine d’années qu’il tenait un coffee shop dans San-Francisco même. A l’époque, le public n’était que peu réceptif à ce genre de boutique, préférant gagner leur vie et moins profiter de leur temps personnel pour apprécier ces petits moments tel que boire une bonne tasse de café de qualité seul ou avec ses amis. C’était un véritable risque qu’avait pris Ben Pherson et il eut de réelles difficultés pour tenter de mener à bien son projet.  

Bien que passionné par son métier, il était difficile pour lui de prendre conscience d’un éventuel échec commercial.  

Financièrement parlant, ce fût plus que difficile et très rapidement il dût trouver des fonds pour combler le déficit.  

Et c’est au bord d’une faillite inévitable qu’il eut l’aide d’une manne financière peu surprenante à l’époque mais qui lui fit faire des bonds. Le réseau mafieux San-Franciscain y avait vu dans son commerce une voie pour accéder au trafic de cannabis via les commandes de cafés aux diverses villes et pays annexes à Cinéjeu Island.  

Désemparé mais mis devant le fait accompli, il dut se rendre à l’évidence qu’il ne pouvait faire autrement que d’accepter cette proposition malveillante mais qui lui permettrait de vivre pleinement sa passion.  

 

Ainsi, les années passèrent et Ben gérait son coffee shop tout en gérant en parallèle un réseau de trafic de cannabis via ses commandes et ses livraisons.  

Le torréfacteur se faisait une place certaine dans le milieu San-Franciscain : le développement des loisirs et autres commerces de proximité incitaient les citoyens San-Franciscains à prendre part et à s’intéresser à la vie se développant autour d’eux. De simple boutique, le magasin s’agrandit et devint un salon de café et un lieu de trafic assez conséquent.  

 

C’était simple, Ben avait deux métiers : Commerçant et Dealer à ses dépens. Et dans les faits, le succès du commerce engendrait de s’y consacrer à plein temps et de l’autre il était toujours tenu à une obligation de résultat et il ne pouvait absolument pas lâcher le réseau mafieux, ils s’occuperaient rapidement de lui et il était donc demandé de toutes parts.  

Il réussissait à gérer les 2 côtés en parallèle jusqu’à un certain point sans éveiller des soupçons mais il dut faire un choix à l’insu de la mafia : il se mit, doucement mais sûrement à proposer du cannabis à ses propres clients dans sa boutique. Cela paraissait dingue mais le public adhérait pleinement à ce projet.  

Officiellement, le coffee shop restait donc un commerce de café mais officieusement il en était tout autre chose.  

Le concept, bien qu’original, attirait de plus en plus de monde et il savait pertinemment qu’il aurait un de ces jours la visite bien aimable de ceux qui garantissaient un retour de bâton définitif autant que cette certitude émanant de Napoléon : « Le café fort me ressuscite, il me cause comme une cuisson, un rongement singulier, une douleur qui n'est pas sans plaisir. J'aime mieux alors souffrir que de ne pas souffrir ».


== Résultats ==