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3. Envy (l'Envie)
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Film sorti en salle le '''16 décembre 2039''' '''Genre''' : Thriller '''Durée''' : 120 min '''Réalisateur''' : Christopher Avery '''Acteurs, actrices''' : Howard Courage Heather Jezek == Promotion du film == Affiche : http://img4.hostingpics.net/pics/237960envy3.jpg Bannière : http://img4.hostingpics.net/pics/650088banniereenvy.jpg Budget publicitaire : 100 000 $ == Synopsis == Jason O’Sullivan avait beau être de nature gaillarde, le suicide d’Eric l’enfant de feu son ami Bill Hopkins l’avait chamboulé. Le cœur palpitant, il était parti de la gare en 4ème vitesse pour fuir ce qu’il avait vu et ce qui le poursuivait maintenant … quelle scène horrible. Il avait une envie irrésistible de prendre la direction du Fiddler’s Green dans le quartier de Fisherman’s wharf (San Francisco) , le pub dans lequel il allait régulièrement après sa journée de travail pour se détendre, se vider la tête comme il le disait si bien. Il réfléchissait néanmoins à la suite des événements parce que tout irait très vite maintenant. Il était relativement clair que ce décès précipiterait la situation de Maria White-Hopkins vis-à-vis de Patrick Mayers … enfin il le supposait. Il avait un fichu mal de crâne maintenant et sa tension était loin de descendre, il regarda sa montre : « 19h25 … c’est bon Maria est sûrement en possession du dessin maintenant » Et Jason ne prit pas la Direction du pub mais de son bureau, il n’y avait pas d’heures pour travailler. Maria avait eu ce pressentiment qu’ont les mères de famille vous savez quand les choses ne tournaient pas rond. Mal à l’aise, nerveuse, elle avait fini sa journée sur les rotules comme à son habitude mais mentalement elle s’était sentie inquiète de quelque chose mais ne savait pas quoi exactement. Son intuition l’amena même à refuser les petites avances de Patrick, quelque chose l’agaçait et elle se mit en tête de ramasser ses affaires et de partir chez elle. Patrick lui proposa de l’accompagner, après tout ce n’était pas la première fois qu’il allait chez elle et finalement Maria accepta. Pendant ce temps-là, le suicide d’Eric avait provoqué un blocage total des voies ferroviaires et routières d’accès à la gare, cela avait provoqué un embouteillage monstre et au loin les premiers secours arrivèrent à vitesse grand V, toutes sirènes hurlantes. Le train arrêté était maintenant contrôlé de part en part et les autorités de la société de chemin de fer de la gare avaient délimité les lieux. Interdiction de passer. Patrick et Maria arrivèrent enfin dans le quartier où vivait la famille Hopkins, et à la vue de la maison, Maria fronça les sourcils et se pinça les lèvres. La maison paraissait trop calme. Elle n’attendit même pas que la voiture puisse s’arrêter et Patrick tenta tardivement de la rattraper. Maria sauta et se foula la cheville mais se releva immédiatement pour rejoindre le porche. D’emblée en abaissant la poignée elle se heurta à la porte fermée de sa maison. La peur commença à monter en elle et elle s’intima de ne pas paniquer, il n’y avait aucune raison pour cela … Elle réfléchit profondément et avait eu toujours du mal à se rappeler de l’emploi du temps de ses enfants, enfin elle leva les yeux vers la boite à lettres. Patrick arriva en courant vers la maison. Une boule commença à naître dans sa gorge et tout en réfléchissant elle alla par réflexe à la boîte à lettres. Elle se dit qu’Eric aurait dû être à la maison. Scott devait être chez ses amis et Brian le petit dernier était toujours chez sa nounou. Et le retour à la réalité pour Maria commença au moment où elle prit le papier chiffonné, le dessin d’Eric. Jason était arrivé à la Bank Of Amerika et dans le parking, il n’y avait maintenant plus personne. Il put donc sans attirer les regards monter à son bureau comme si de rien n’était. Il s’était tout de même un peu calmé et il avait maintenant plus ou moins les idées claires mais une chose était sûre il devait contre-attaquer. Il croisa quelques employés d’entretien des bureaux mais rien d’inquiétant. Il enleva sa veste et s’assit sur sa chaise de bureau à roulettes. D’un geste, il prit le combiné téléphonique et appuya sur la touche automatique du 7 … un numéro bien utile ses derniers jours … tout en ouvrant le tiroir de son bureau. Celui-ci coulissa et il sortit un dossier. Il y avait de la tonalité … il ouvrit le dossier et prit la fiche de renseignement qu’il avait réussi à obtenir sur Patrick Mayers. « Glen Callaghan à l’appareil » « Bonsoir Glen, c’est Jason je peux te parler ? » …. « Mmmm oui c’est bon tu as du nouveau ? » « Oui et pas qu’un peu, j’ai filai Eric Hopkins … » « un des fils de Bill ? » « Oui, il s’est jeté sous un train et … » « Quoi ?!!!!! » le téléphone grésilla dans les oreilles de Jason et il dut écarter le combiné. « Oui j’ai assisté à la scène et tu as bien entendu c’est un suicide … Glen ? » « Oui .. oui j’ai bien entendu mais quel malheur pour ce gosse, bon sang » « Et cela va précipiter les choses, Glen, on a de quoi les faire tomber maintenant ! » Ainsi, Jason O’ Sullivan avait les pièces en main pour révéler la relation qu’entretenait actuellement Patrick Mayers avec Maria White-Hopkins et qu’il allait certainement pas se gêner pour le révéler à tous. Ce dossier qu’il avait bâti était sérieusement compromettant et ce à tous les niveaux concernant Patrick Mayers et cela faisait un bail qu’il voulait le faire tomber. La relation entre amant, la taupe qu’était Maria de White-Hopkins tout cela était l’œuvre de Patrick Mayers … Et la façon dont la NationsBank avait coupé l’herbe sous le pied à la Bank Of America. C’était Bill et lui qui auraient dû et depuis le début récolter le succès de la Bank of Americard. Glen, lui, était un pigiste du San Francisco Chronicle avec qui Jason entretenait des relations amicales, ils se rendaient service entre amis irlandais. D’un commun accord, ils entreprirent donc de démolir la vie de Patrick Mayers, l’investigateur de toute cette mascarade. Glen de son côté concoctait depuis un bail un article qui descendait en flèche Patrick Mayers, il ne lui manquait plus qu’un fait déclencheur, le suicide d’Eric servirait de révélation concernant la relation Maria Hopkins – Patrick Mayers. L’article était fin prêt et il ferait demain la une du journal. Jason raccrocha le combiné et le reprit, il ne lui restait plus qu’une chose à faire. Pourrir la vie dorée que menait Patrick Mayers. Il consulta la fiche de renseignement et composa un numéro. La réponse ne se fit pas attendre bien longtemps, au bout de 2 sonneries Jason entendit : « Famille Mayers bonjour, Stacy au téléphone ! » Jason sourit à l’écoute de l’intonation de la petite voie, il s’agissait de la petite dernière. « Bonjour Stacy, je suis un collègue de ton papa. Peux-tu me passer ta maman ? J’ai quelque chose à lui annoncer … » Ce soir-là, peut-être par intuition ou dû au destin, Patrick Mayers ne rentra pas chez lui. Il était resté au poste de police avec Maria toute la nuit, bien occupé visiblement. Le lendemain, Jason se réveilla avec l’idée qu’il passerait une excellente, une merveilleuse journée pleine de rebondissements et ce pour tout le monde. Il se lava, s’habilla en sifflotant puis prit son petit déjeuner. Il ne prit même pas la peine d’allumer la radio pour écouter les nouvelles, il lirait le San Francisco Chronicle bien assez tôt. Il enfila ses chaussures, prit sa veste et ouvrit la porte d’entrée pour sortir. Au dehors, une bardée de flics le plaquèrent sans ménagement au sol. Totalement surpris, son visage écrasé sur le bitume devant la porte d’entrée il ne put réussir à s’exprimer. Les gyrophares tournoyaient, il devait y avoir une bonne dizaine de voiture de police … Menottes aux poignets, on le redressa et vit en horreur devant lui la photo du corps disloqué du petit Eric Hopkins ainsi qu’une photo prise de sa voiture à la gare, démarrant en trombe. Et juste derrière apparurent, Maria complètement laminée par les évènements et Patrick Mayers à ses côtés, droit comme la justice. « Une caméra de surveillance … prit en flagrant délit d’assassinat contre un enfant innocent, bravo Monsieur O’Sullivan, vous êtes un monstre » dit Patrick Mayers. Jason O’Sullivan hurla à qui voulait l’entendre que ce n’était qu’une plaisanterie et qu’il était innocent, les policiers le conduire au poste pour s’expliquer. == Impressions et confidences == == Résultats ==
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